Séance du 18 décembre 2014

Accès direct : Ordre du jour, Communiqué du conseil, Procès-verbal

Ordre du jour

CONSEIL MUNICIPAL 

– Modification des représentants du Conseil Municipal au sein des conseils d’administration des collèges et lycées rambolitains
– Communication sur le groupe de travail circulations douces 

RESSOURCES HUMAINES 

– Ajustement du tableau des effectifs
– Frais de représentation de la fonction de Directeur Général des Services 

FINANCES 

– Décision modificative n°3 portant sur le budget principal pour l’exercice 2014
– Décision modificative n°1 portant sur le budget développement économique pour l’exercice 2014
– Décision modificative n° 1 portant sur le budget développement culturel pour l’exercice 2014 

URBANISME 

– Application de la participation pour voirie et réseaux pour le projet de construction d’un programme immobilier par la société TAGERIM rue de Clairefontaine, rue de Paris
– Application de la participation pour voirie et réseaux pour le projet de construction d’un programme immobilier par la société JJEP 31 rue de la Louvière
– Autorisation donnée au Maire de signer une convention entre la ville et l’indivision AUBERT
– Autorisation donnée au Maire de déposer un permis de construire pour la réfection d’une partie de la toiture de l’église Saint-Lubin
– Autorisation donnée au Maire de signer une convention d’études relative aux mesures à adopter sur les ouvrages de GRT Gaz dans le cadre du projet d’aménagement du Pont de la Mare aux Moutons
– Demande de subvention au titre du Fonds National d’Aménagement et de Développement du Territoire (FNADT) concernant le projet d’aménagement du pôle gare à Rambouillet 

HABITAT 

– Communication sur le logement social à Rambouillet 

MARCHES PUBLICS 

– Signature des marchés de travaux concernant la restructuration de la médiathèque Florian 

SERVICES TECHNIQUES ET DEVELOPPEMENT DURABLE 

– Marchés forains – Révision du tarif des droits de place et de la redevance 2015
– Approbation des modifications du règlement du service de l’assainissement
– Remboursement de frais de mise en fourrière automobile 

SPORT 

– Tarification des installations sportives municipales 

EDUCATION JEUNESSE 

– Fixation des tarifs des séjours hiver et printemps 2015 

PETITE ENFANCE 

– Modification de l’agrément Conseil Général de la crèche familiale « La Farandole » 

AFFAIRES INTERCOMMUNALES 

– Présentation du rapport annuel d’activités 2013 de la C.C.P.F.Y.
– Présentation du rapport annuel d’activités 2013 du S.I.R.R. 

AFFAIRES CULTURELLES 

– Médiathèque Florian – Vente publique du mobilier du 15 février au 1er mars 2015
– Modification des tarifs de la médiathèque Florian et de son réseau à partir du 1er janvier 2015
– Modification de la tarification du musée Rambolitrain – Entrée payante à partir de 3 ans 

VIE ASSOCIATIVE 

– Modification du règlement intérieur des salles municipales
– Subvention d’aide à projet à l’association des Amis du Musée Rambolitrain 

COMMUNICATIONS DU MAIRE 

QUESTIONS ORALES 

QUESTIONS DIVERSES 

Je vous prie en conséquence de bien vouloir assister à cette réunion. 

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, Cher(e) Collègue, l’expression de mes sentiments distingués. 

Le Maire, 

Marc ROBERT  

N.B. : Il est rappelé que tous documents et informations concernant les points de l’ordre du jour peuvent être obtenus auprès de Monsieur le Directeur Général ou de ses Adjointes. 

Communiqué du conseil

 

Mise en place d’un groupe de travail

 « Circulations douces »

 

Dans la continuité du travail mené sur le confort et la sécurisation des trajets et voies cyclables dans notre ville réalisé en collaboration avec les associations cyclistes en 2013, le Maire de Rambouillet crée un groupe de travail regroupant associations et élus de Rambouillet pour poursuivre la réflexion autour du schéma présenté en conseil municipal le 15 novembre 2013.

 

A Rambouillet, les premiers aménagements cyclables ont été créés dans les années 1990. Aujourd’hui, ce sont près de 20 kilomètres de pistes cyclables, bandes cyclables, chaussées marquées de pictogrammes au sol, ou espaces partagés avec les piétons qui existent.

 

Le groupe de travail « Circulations douces », sera composé  d’élus, de techniciens et d’associations de cyclistes (Association Rambolitaine de Cyclistes Urbains (ARC), Cyclotouristes de Rambouillet (CTR) et donc mis en place afin de faire des  propositions pour poursuivre l’amélioration du réseau cyclable dans un contexte financier contraint.

 

En 2013, la consultation du Schéma Local des Déplacements a donné lieu à des remarques et propositions sur les aménagements cyclables. Elles seront prises en compte pour permettre de faire du vélo, un mode de déplacements qui puisse être largement utilisé par les Rambolitains qui le souhaitent

 

L’objectif est donc de poursuivre l’amélioration du réseau pour favoriser la pratique du vélo sans exclusive des autres modes de transport.

 

  • En actualisant le plan présenté lors du Conseil Municipal de novembre 2013;
  • En définissant les axes prioritaires à développer ;
  • En coordonnant les réalisations d’aménagements avec le Conseil général;

 

 

Les pistes d’amélioration du réseau cyclable rambolitain ;

L’objectif principal reste de fluidifier le trafic des cyclistes sur les axes nord-sud et est-ouest par la mise en place :

  • de « tourne à droite » (aménagement permettant au cycliste de tourner à droite à un carrefour lorsque le feu est rouge)
  • de « stop tout droit » (aménagement permettant au cycliste de ne pas s’arrêter à un stop dans les intersections en forme de T).

L’amélioration des sas cyclables

Gage de sécurité, et d’espace urbain partagé, la coordination et le travail en transversalité des services municipaux (services urbanisme, voirie, développement durable et Département Education Jeunesse pour la partie prévention) sont nécessaires pour prendre en compte tous les éléments à développer de manière cohérente le réseau cyclable et ses aménagements.

 

 

Communication du Maire

Budget 2015 

 de la contrainte à l’audace !

 

Le budget municipal pour l’année 2015 se prépare  dans un contexte sans précédent caractérisé par une importante période d’instabilité du fait de la diminution des dotations de l’Etat.

La loi de programmation des finances publiques (2014-2019) proposée par le gouvernement et votée par le Parlement confirme l’annonce faite par le Premier Ministre au lendemain des élections Municipale de 2014. Alors même que les collectivités locales ne participent qu’à hauteur de  9,5% de la dette publique totale, pour la seule année 2015 plus de 3,7 Milliards d’euros d’efforts supplémentaires leur seront demandées (818 000 euros pour la ville de Rambouillet). A cela il faut ajouter les charges supplémentaires comme le sont les nouveaux Rythmes scolaires dont le coût au niveau national est estimé à 1 Milliard d’euros par an (250 000€ pour Rambouillet).

Baisse des dotations de l’Etat et dépenses contraintes nouvelles : en 2015, 2 300 000€ supplémentaires à la charge de la ville de Rambouillet soit l’équivalent de 10 points d’augmentation des impôts locaux ou 85 euros par Rambolitains.

Les communes voient ainsi dans le même temps et de manière brutale, leurs ressources fortement réduites et  leurs charges augmentées par des mesures gouvernementales. Lors du Congrès des Maires, le nouveau Président de l’AMF  a ainsi parlé de « mise en danger institutionnelle des communes «.  Dans les territoires les conséquences ne se feront pas attendre, un rapport Sénatorial du 12 novembre 2014 explique que les communes, pour faire face à de telles réductions  seront amenées à diminuer de 30% leur investissement.

De plus, l’Etat prévoit une très forte hausse des prélèvements au titre de la redistribution entre les   communes dites riches et les communes considérées comme pauvres. Cette hausse impactera directement Rambouillet. La contribution sollicitée par l’Etat s’établira en 2015 à 766 000 euros.

En 2015, dans notre ville, l’addition de ces charges nouvelles et de ces baisses de ressources grèvera notre budget de 2 300 000 €. Ce chiffre est à mettre en rapport avec ce que rapporterait l’augmentation d’un point du taux des impôts locaux (200 000 euros).

L’écart entre les sommes ainsi prélevées sur notre ville et notre potentiel fiscal donne le vertige !

Pour les années à venir, comme cela a été présenté en commission des finances le 16 décembre, la prospective financière nous permet d’évaluer les sommes nouvelles qui seront prélevées si l’Etat ne revient pas sur ses décisions. Elles s’élèveront, entre 2014 et 2017 à 14 millions d’Euros soit, si l’on ajoute la part des investissements financés par  les subventions, une réduction potentielle des dépenses d’équipement d’environ 18 millions d’€.

 

Vers un plan d’ « innovation organisationnelle »

 

Pour faire face à cette situation nouvelle, la ville de Rambouillet peut s’appuyer sur un important fond de roulement (réserves financières). En 2014 il s’élève à près de 9 millions d’euros. En l’absence de recours à l’emprunt notre dette a baissée en 2012, en 2013 et continuera de baisser en 2014.

Il nous faudra aller plus loin, c’est la raison pour laquelle nous établissons un plan d’innovation organisationnel pour contrôler nos dépenses.

Nos principales dépenses (entretien des écoles, des crèches, entretien des équipements sportifs et culturel)  ne peuvent être réduites aussi vite que le sont les dotations de l’Etat. Face à ce constat, dès le discours du Premier ministre en avril dernier nous avons agit  pour proposer un plan d’actions qui comporte six points.

1/ Dimensionner nos investissements :

Pour construire l’avenir, la ville de Rambouillet continuera à investir dans chacun de ses quartiers. Certains projets pourront être reportés ou redéfinis pour tenir compte d’un contexte nouveau notamment lors des prochains arbitrages budgétaires.

2/ Profiter des 70 départs en retraite à l’horizon 2020 pour réaliser un plan d’ajustement des ressources humaines :

Une démarche d’arbitrage en matière de ressources humaines est menée pour limiter l’utilisation des heures supplémentaires, les vacations et les remplacements lors d’absence. Des efforts ont été réalisés cette année. En 2014 le budget prévisionnel concernant les heures supplémentaires était de 350 000 euros, 255 000 euros devrait être consommés.

Une analyse précise est d’ores et déjà engagée avant chaque remplacement lors des départs à la retraite ou suite à des mutations. Cette démarche vise à compenser l’augmentation automatique de la masse salariale liée au GVT et donc de geler les dépenses de personnels.

3/ Etablir un audit financier et organisationnel.   

Cet audit, dans lequel les agents auront un rôle essentiel, vise à déterminer précisément les gains de productivité qui peuvent avoir lieu dans chaque service, les économies réalisables et les mutualisations nécessaires. Il s’agira d’un véritable « observatoire RH et financier » autour d’outils de mesure des compétences,  de définition des besoins et d’accompagnement des services dans leurs missions auprès des rambolitains.

4/ construire une nouvelle organisation.

Cette nouvelle organisation sera le fruit de l’audit précédemment réalisé.

5/ créer des synergies avec l’intercommunalité.

Ville centre de notre intercommunalité, la ville de Rambouillet dispose de compétences et de  savoirs faire qui pourraient être partagés dans le cadre de notre future communauté d’agglomération. Un groupe de travail conjoint a été mis en place dans ce sens pour préparer un Schéma de Mutualisation conformément à la loi.

6/ S’appuyer sur de nouvelles ressources

Ce plan nous permettra d’encore mieux d’utiliser nos ressources. A Rambouillet depuis 2 ans les impôts n’ont pas augmenté.

 

Stabilité de la pression fiscale en 2015

Une nouvelle fois en 2015 nous n’augmenterons pas nos impôts  et nous nous engageons à continuer de maitriser notre pression fiscale et à faire le maximum pour limiter impôts et tarifs.

Si les annonces du gouvernement  dans les années à venir étaient maintenues, la situation deviendrait intenable sans remise en cause profonde des services rendus à Rambouillet et auxquels nous sommes légitimement attachés, ou sans augmentation de la fiscalité malgré les actions audacieuses que nous menons et dont le fruit portera à moyen terme.

Je le répète, nous ferons tout pour maintenir à la fois la qualité des services et une fiscalité maîtrisée mais nous devons faire entendre notre voix pour que le rôle de proximité des communes qui sont au cœur  de  nos institutions ne soit pas remis en cause.

Intercommunalité

Rapport d’activités de la Communauté de Communes Plaines et Forêts d’Yveline

Année 2013

 

 

La Communauté de Communes Plaines et Forêts d’Yveline (CCPFY) qui sera au 1er janvier 2015 la communauté d’agglomération de Rambouillet Territoire  était composée en 2013 de 25 communes regroupant 56 197 habitants.

Les dépenses se sont réparties comme suit en 2013 :

-25,29 M d’euros pour la section fonctionnement. 55% de ces dépenses sont consacrées aux dépenses de personnel. 127 agents travaillent actuellement à la CCFPY.

– 1 397k€ d’euros pour la section investissement.

La capacité d’investissement de la CCFPY repose sur une dynamique et une gestion raisonnée : 80% des dépenses d’investissement sont autofinancées ; elle n’a pas eu recours à l’emprunt depuis 2010.

Pour rendre la plus efficiente possible toute dépense, la CCFPY a mis en place un service de contrôle de gestion qui accompagne les services dans l’exercice de leur fonction.

 

Les actions sur le territoire :

Une partie des actions de la CCFPY sur le territoire s’articule autour des compétences aménagement du territoire et développement économique.

1/ La compétence aménagement du territoire se décline autour des actions en faveur du développement durable et la voirie-réseaux.

Dans le cadre du développement durable, en 2013, la CCFPY a conduit les actions suivantes :

  • La deuxième phase du plan climat énergie territorial (PCET) a été lancée et consiste à réaliser un diagnostic du territoire (bilan des émissions à effet de serre) et un prédiagnostic de vulnérabilité du territoire au changement climatique. Cette deuxième phase aboutira en 2014 à la définition de projets et plan d’actions pour les années à venir. D’ores et déjà un technicien spécialisé se tient à la disposition des communes pour accompagner la gestion efficace de l’énergie.
  • L’agenda 21 communautaire a été adopté et identifie les besoins du territoire en matière de développement durable dans les domaines environnementaux, sociaux et économiques.
  • Des actions de sensibilisation au respect de l’environnement ont été menées avec l’éductour eau (sensibilisation des scolaires à la préservation de l’eau), la ruche pédagogique, l’opération « nettoyons la nature », le recyclage des papiers de bureau et le programme d’aide aux propriétaires pour la mise en place de récupérateurs d’eau.
  • Le service public d’assainissement non collectif a poursuivi la vérification des installations portant ainsi à 527 le nombre d’installations contrôlées sur les 846 présentes sur le territoire.

Dans le cadre de la compétence voirie et réseaux :

  • La CCFPY a participé à la réhabilitation d’un certain nombre de voiries dite d’intérêt communautaire. A Rambouillet il s’agit de la route du vieil orme pour un montant de 168 400€.
  • Le parc d’activités Bel Air-La forêt a bénéficié dans ce contexte d’investissements structurants (lancement d’un marché pour l’implantation d’un puits carbone, entretien et nettoyage des espaces verts, liaison entre le parc d’activités et la RD 150)
  • Lancement d’une étude de faisabilité sur le territoire pour le développement de voies vertes dans le cadre du schéma départemental sur les mobilités douces.

2/ Le développement économique

La compétence développement économique de l’intercommunalité s’articule autour d’une part du parc d’activités Bel-Air La Forêt et d’autre part du service développement économique.

  • Concernant le Parc d’activités Bel Air La Forêt, la partie commercialisation s’est soldée par la vente de trois lots (28 371m²), 8 promesses de vente ont été signées et 2 lettres d’engagement ont été signées. 863 000€ de travaux ont été réalisés pour poursuivre l’aménagement du parc.

 

  • Concernant le service développement économique, il vient en support des entreprises et promeut l’attractivité du territoire. Dans cet objectif, un site internet (78invest.fr) a été créé. Dans la continuité, une convention PLATO a été signée entre la CCFPY et la chambre de commerce et d’industrie de la Région Ile de France en mai 2013. Prévue pour une durée de trois ans, cette opération permet à une vingtaine d’entreprises du territoire de se réunir tous les mois pour des échanges économiques. De même le service accompagne au travers d’une bourse aux locaux les entreprises pour leur recherche ou vente de locaux.

Les équipements communautaires :

La CCFPY gère désormais de nombreux équipements sur le territoire parmi lesquels :

  • La piscine communautaire des Fontaines (Rambouillet) a été marquée pour l’année 2013 par le lancement du projet d’étude pour la réhabilitation/extension de l’établissement. Fin novembre 2013 a eu lieu la présentation du projet devant le comité technique. Les études de conception vont se dérouler jusqu’en 2015. Les travaux sont prévus de 2015 à 2017 pour une ouverture à l’automne 2017.
  • L’école communautaire des sports qui permet la pratique de multiples activités sportives (collectif et individuel) a accueilli 100 enfants répartis sur les trois écoles du territoire. Le budget global de l’école des sports s’élève pour l’année 2013 à hauteur de 61 900 En 2013, la CCFPY a également porté la réalisation de deux nouveaux terrains multisports (Ponthévrard et Rambouillet), ce qui porte à 13 le nombre de terrains multisports et 9 le nombre d’aires de jeux.
  • Le conservatoire communautaire avec une antenne à Rambouillet et à Saint Arnoult a accueilli en 2013 1109 élèves. 68 personnes y travaillent. Du point de vue pédagogique, l’année 2013 a porté sur la rédaction d’un nouveau projet d’établissement. Concernant l’entretien des locaux plusieurs investissements ont été réalisés (à Rambouillet, changement du chauffage, aménagement de l’auditorium ; à Saint Arnoult, rafraîchissement des peintures, mise en place des serrures, changement des projecteurs de l’auditorium).
  • Trois cyberesp@ces ont été créés dans le cadre de la compétence Technologies de l’Information et de la Communication se répartissant entre Rambouillet, Raizeux et Saint-Arnoult. 3305 entrées ont été comptabilisées dans les cyberesp@ces en 2013.

Les services communautaires

La CCFPY apporte un service concret dans le quotidien des personnes habitants du territoire ou pour les personnes de passage au travers notamment l’office communautaire du tourisme rural et du Centre intercommunal d’action sociale.

  • L’office communautaire du tourisme rural (OCTR) a renseigné (physiquement ou par internet) 8885 personnes en 2013, soit une augmentation de l’activité de 50,6%. L’OCTR a participé à de nombreuses opérations de promotion du territoire, a poursuivi son action pour fédérer les a
  • cteurs du tourisme du territoire et a participé à la promotion de nombreuses animations. En 2013, l’OCTR a obtenu le « label accueil vélo » pour une durée de trois ans permettant d’être référencé sur le site du parcours de la véloscénie Paris/ Mont Saint Michel.
  • Pour l’année 2013, l’activité du centre intercommunal d’action social a été caractérisée par l’intégration de la gestion des 6 micro – crèches dans les compétences et ce dans le cadre d’une délégation de service public. L’ouverture de ces structures prévue début 2015 permettra alors d’envisager des opérations intergénérationnelles.  L’investissement consacré aux micro-crèches s’élève à 2,5 M d’euros et permettra l’ouverture de 50 berceaux répartis entre les communes de Rambouillet, Clairefontaine, La Boissière-école, Orcemont, Sonchamp et Raizeux.

 

La Prospective

Les communes membres de la CCFPY autour de leur Président, Jean-Frédéric POISSON sont très attachées à inscrire leur action dans une réflexion globale à la fois territoriale et dans le temps. C’est pourquoi depuis 2011 a été engagée une réflexion prospective pour imaginer le territoire de demain en s’appuyant sur les réseaux intelligents et les territoires connectés. Dans ce cadre notamment ont été mises en circulation 5 véhicules en autopartage.

SYNDICAT INTERCOMMUNAL

DE LA REGION DE RAMBOUILLET

Synthèse du rapport d’activités 2013

Le Syndicat Intercommunal de la Région de Rambouillet (SIRR)  est un syndicat mixte ayant recentré ses compétences qui portent aujourd’hui sur la station d’épuration de Guéville.  La compostière des boues arrêté mi 2012 est en phase finale de réception des travaux suite à la démolition du bâtiment administratif et du démantèlement puis de la reformulation (reconstruction partielle) du bâtiment d’exploitation.

Le Syndicat Intercommunal de la Région de Rambouillet (SIRR) est le maître d’ouvrage de la station d’épuration de la Guéville qui a été reconçue en 1995, modernisée de 2009 à 2011 (Normes Européennes) et qui présente une capacité de 46 316 équivalents-habitants (EH). Elle traite la pollution collectée via le réseau d’assainissement pour partie de type unitaire et pour partie de type séparatif de la Ville de Rambouillet, et des réseaux majoritairement de types séparatifs des communes de Gazeran et de Vieille Eglise en Yvelines.

 

Station d’épuration de la Guéville: renforcement des contrôles et optimisation  du traitement pour préserver l’environnement.

En 2013, 2 630 142 m3 ont été traités (eaux usées et eaux pluviales confondues) sur la station d’épuration de la Guéville.

La même année, les analyses ont permis de constater la poursuite de l’amélioration des rendements par rapport aux années précédentes. Ainsi, l’efficacité du traitement mesurée sur différents paramètres se situe à 90 % en 2013 en moyenne (ce qui signifie que les eaux ont été épurées à 90% en moyenne avant d’être réintroduites en milieu naturel) et 82% pour l’azote global sur cette même année.  Il est à noter que le rendement épuratoire moyen de la station entre 2012 et 2013 a augmenté de plus d’un point par paramètre.

Dans le même temps la surtaxe d’assainissement est passée de 1,72 € / m3 à 1,57 € / m3 soit une baisse de 8,72 %.

 

En 2013  afin de répondre aux exigences de la Réglementation Européenne, de nouveaux équipements ont été positionnés sur la station permettant le suivi des eaux entrant sur la station d’épuration tels que l’installation d’un préleveur et l’installation d’un comptage à l’entrée de la lagune sur les volumes d’eaux brutes by-passés.

En 2013 une régularisation a eu lieu sur les dépenses de fonctionnement du budget général de 55 339 euros correspondant à une annulation d’un titre de recettes pour la commune d’Hermeray. Les dépenses de fonctionnement étant faibles (essentiellement des intérêts d’emprunts) la proportion sur le budget est importante en proportion (74%).

Objectifs à venir :

Le programme d’investissement pour le traitement des effluents entrant sur la station d’épuration par temps de pluie fera l’objet d’études complémentaires intégrant diverses solutions techniques, ainsi qu’un échelonnement financier des phases de travaux permettant de lisser l’impact sur la part traitement des eaux usées de la facture d’eau.

Un projet se déclinant en trois étapes est à l’étude :

1 – Création d’un bassin de rétention des effluents arrivant sur la station

(2 x 6 000 m3) permettant de stocker les effluents en cas d’orage et de réguler leurs apports en tête de station.

2 – Sécurisation du process : Déplacement des installations de prétraitement, mise en place d’unités de désodorisation, doublement du décanteur lamellaire et doublement de la centrifugeuse utilisée pour la déshydratation des boues.

3 – Remise à l’air libre de la rivière Guéville (actuellement busée) sur le site de la station.

 

Démantèlement de l’usine de compostage :

 

Après environ quatre années de recherches, d’études et de réflexions sur des alternatives, il a été décidé d’arrêter l’activité de compostage des boues et de démanteler l’usine installée sur le site de Guéville.

La normalisation du compost nécessitait des travaux importants alors que le compost doit être appelé à être considéré comme déchet (évolution attendue de la réglementation européenne). Désormais un prestataire extérieur, (SEDE)  prend en charge les boues déshydratées uniquement issues de la station en vue d’une valorisation en compost ou en Biogaz.

L’arrêt du compostage avec le maintien de la collecte des boues liquides de la station, leur déshydratation sur le site et l’externalisation du traitement est intervenu en juillet 2012.

 

Communication

Diversité des logements à Rambouillet

Présentation des bailleurs sociaux

 

La ville de Rambouillet se rapproche des 25% exigés par la loi ALUR  et poursuit sa politique menée en matière d’équilibre de l’habitat. Elle applique un même principe : pour 100 logements construits, 25 le sont en social et 10 en intermédiaire. A l’avenir nous prévoyons  d’intégrer des logements, entre 5 et 10%, en accession à la propriété. Diversifier ses offres et répondre à toutes les situations qui peuvent se présenter au cours des différentes étapes de la vie : telle est à Rambouillet la politique du logement. (note mixité J Piquet).

Les 2419 logements sociaux de Rambouillet sont répartis au sein de six bailleurs sociaux :

 

D’une façon générale chaque logement qui se libère est remis en état si nécessaire : notamment la mise aux normes électriques et le changement des huisseries.

 

La réhabilitation énergétique est prévue sur tout le patrimoine lorsque c’est possible, ce qui permet de faire des économies d’énergie et de diminuer les charges.

 

Cette réhabilitation consiste à la fois en l’isolation thermique et phonique des batiments par l’extérieur (ex : Kennedy (SEMIR), les Marais (OPIEVOY)) et en l’amélioration de l’habitat : éclairage avec des lampes en basse consommation des parties communes pose de compteurs individuels d’eau.

 

  1. LA SEMIR

 

Société d’économie mixte immobilière de RAMBOUILLET dont la ville est l’actionnaire principale.

Créée en 1954, joue un rôle social très important. Elle est une « locomotive » pour les autres bailleurs notamment à travers le club inter-bailleur.

Une médiatrice est très active sur le terrain.

 

918 logements dont 705 familiaux

115 logements personnes âgées

80 logements étudiants

18 logements jeunes

 

  • Les logements familiaux se situent à la Louvière (Rue du Muguet et Kennedy), au Racinay, Rue Patenôtre (Résidence Laigneaux), à Groussay (Fontaine de Rambeuil et Résidence Antoinette Vernes).

 

  • Les logements pour personnes âgées (RPA) de grands F1 et des F2 pour les couples en plein centre ville : Rue d’Angiviller et Rue Paul Doumer.

 

  • Les logements étudiants : 80 chambres Rue Vernes,

 

  • Les logements jeunes : Ce sont des logements passerelles gérés par un guichet unique qui se trouve au DEJ.

Ce sont des baux de 23 mois  et le jeune ne doit pas être âgé de plus de 30 ans.

La sélection est liée à l’urgence de la situation du jeune qui est suivi tout au long de son séjour.

 

PROJETS SEMIR

 

  • Résidence Etudiants : 42 Rue Patenôtre. 90 chambres, livrées en Septembre 2015 pour la rentrée.

 

  • La sablière : 73 logements dont 45 en logements familiaux (14 T2, 22 T3, 9 T4) et 28 logements jeunes travailleurs (T2) Livrés dans 2 ans.

Construction d’une micro-crèche par la CCPFY.

 

  • « La Nouette» : Etude de 20 logements, type petites maisons en accession sociale.

 

 

  1. L’OPIEVOY

 

C’est un office public HLM dont le siège est à Versailles et qui fonctionne en Directions Régionales : RAMBOUILLET dépend de l’agence de Plaisir.

L’OPIEVOY gère 45 000 en île de France (aucun à PARIS). 717 logements familiaux à RAMBOUILLET.

 

 

LES EVEUSES :

 

  • Un collectif de 33 logements construits en 1933 en réhabilités en 2000
  • 23 petits pavillons, construits en 1932 et réhabilités en 2002.

 

12 SQUARE DES CARRIERES:

 

  • 2 logements dans un pavillon.

 

GRENONVILLIERS :

  • Du 29 au 39 Rue de Grenonvilliers : 2 bâtiments comportant 60 logements en tout, construit en 1962 et réhabilités en 1995.
  • 3 petits immeubles et 78 logements, construits en 1982 et réhabilités en 1994.
  • 21 petits pavillons, construits en 1979 et ravalés en 2011.

 

GROUSSAY

 

  • Les Marais : 206 logements répartis en 5 bâtiments. De gros travaux d’isolation thermique et phonique viennent d’être terminés. Construits dans les années 1970.
  • Square René Coty : 81 logements construits en 1963.En attente d’une grosse réhabilitation.
  • Résidence Saint Louis: 59 logements construits en 1996.

 

LA LOUVIERE

 

  • Rue Auguste Moutié et Rue des Ecoles.
  • 136 logements construits en 1958, réhabilités en 1992 et 1995 et en attente d’une nouvelle réhabilitation sur le plan énergétique.
  • La Mare Hubert : 21 logements construits en 1993.

 

PROJETS :

 

  • Réhabilitation de Coty( confirmée début Mars par l’OPIEVOY après retard lié à nouvel réglementation Amiante)

Est prévu : la réfection des pièces humide, Le changement de tous les sanitaires, la réfection électrique, Peinture,  le changement des sols.

  • Réhabilitation à la Louvière (136 logements) (Voté par L’opievoy) dont le 1er axe est la performance énergétique.

 

DOMNIS (Foyer pour tous)

 

Grand bailleur également en île de France.

 

523 logements familiaux à RAMBOUILLET.

 

  • RESIDENCE PIERRE ET MARIE CURIE:

 

  • 285 logements construits en 1977, réhabilité en 1996.

 

  • RESIDENCE PASTEUR:

 

  • 112 logements construits en 1966.

 

 

  • 8 PAVILLONS PASTEUR:

 

  • 8 logements en petites maisons construits en 2005 pour les familles : 6 F4 et 2 F3 avec un petit jardin.

 

  • RESIDENCE CHASLES:

 

  • 43 logements construits en 1986.

 

  • ARBOUVILLE:

 

  • 11 au 17 Rue d’Arbouville : 27 logements construits en 1986.
  • 81 Rue d’Arbouville : petit immeuble de 6 logements réhabilités en 2007.

 

  • RESIDENCE VERNES:

 

  • 42 logements construits en 1993.

 

PROJETS

 

  • Rénovation à Curie (début des travaux juin) : remplacement des huisseries, peinture des parties communes, aménagement des espaces extérieures, réfections des étanchéités des terrasses.
  • A la croisée des Bois : Construction de 43 logements livrés dans 2 ans.

 

  1. SOGEMAC

 

Signifie Société de Maintenance, d’aménagement et de construction.

La ville est actionnaire de la SOGEMAC.

Fondée en 1928 à l’initiative d’associations d’anciens combattants.

Madame Thome-Patenôtre a présidé cette société de 1954 à 1971.

 

324 logements familiaux :

 

Le BEL-AIR:

 

  • 180 logements répartis en 9 bâtiments (Avenue du Maréchal Juin). Construits en 1970. Le ravalement se termine avec l’isolation phonique et thermique.

 

LES MARAICHERS:

 

  • 40 logements à l’angle de la Rue Dreyfus et Pasteur

 

RESIDENCE LES YVELINES:

 

  • à côté de la gare (Rue Sadi Carnot) – 38 logements.

 

LA MUSTIERE:

 

  • Rue Lachaux – 26 logements.

 

LE CHARLEMAGNE:

 

  • aux Eveuses (Rue Konrad Adenauer), 40 logements tous adaptés PMR construits en 2007.

 

UNE RESIDENCE SOCIALE TYPE MAISON-RELAIS / LA RESIDENCE DES BUISSONS:

 

A ouvert ses portes en décembre 2012 et qui est gérée par le CCAS.

Accueille les personnes entre 25 et 60 ans désocialisées souvent en difficultés financières et/ou morales sur orientation d’un travailleur social.

29 logements répartis en 23 places Maison-relais et 9 places d’urgences et 1 logement type F3 pour l’hôte.

 

PROJETS

 

  • A livré la Maison-relais il y a 18 mois.
  • Amélioration énergétique : les travaux au Bel-air se terminent. (pour rappel)

 

  1. ANTIN RESIDENCE à Château-Bazin

 

100 logements en maisons mises en vente aux locataires occupants en priorité : 40 restent en location actuellement.

 

  1. IMMOBILIER 3F

 

31 logements Allée aux Lapins

  • LOGEMENTS CHEZ L’HABITANT

 

Liste de 50 chambres gérée par le Service Habitat.

 

En conclusion, l’objectif commun des bailleurs est de répondre à la demande sociale en matière de logement, de garantir le suivi, d’entretenir et de réhabiliter leur patrimoine et enfin de construire de nouveaux logements.

 

Le rôle des gardiens est essentiel : ils sont présents sur tout le patrimoine social de la Ville.

Ils sont les premiers au contact des locataires : leur rôle est désormais social.

Communication

LOGEMENT SOCIAL

 

I – DÉFINITION

C’est un  logement qui fait l’objet d’une convention entre l’Etat et le bailleur

II – FINANCEMENT DU LOGEMENT SOCIAL

En France le logement social est financé par plusieurs acteurs :

  • l’État sous quatre formes principales, ci-après très synthétisées :
    • une subvention fonction de la vocation sociale du projet, dite communément « aide à la pierre » ;
    • des exonérations fiscales dont principalement l’exonération de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) – les collectivités locales (bénéficiaires de cet impôt) étant en partie dédommagées par un fonds de compensation – et l’exonération de l’impôt sur les sociétés ;
    • une TVA à taux réduit (5,5 % depuis le 1er janvier 2014), selon le régime fiscal de la livraison à soi-même ; en contrepartie le préfet a ainsi un droit de réservation de 30 % des logements sociaux, dont 5 % pour les fonctionnaires de l’État. les crédits budgétaires consacrés à ces investissements relèvent des différentes administrations qui consacrent des moyens inégaux pour le logement de leurs agents ; le ministère de l’Équipement chargé de la procédure interministérielle ou celui de la Défense restent les principaux investisseurs.[réf. nécessaire]
    • le versement de l’aide personnalisée au logement (APL). Calculée en fonction du revenu des locataires et du loyer, cette aide est directement versée par les Caisses d’Allocation Familiale (CAF) au bailleur.
  • les collectivités territoriales peuvent également contribuer à des opérations de logements :
    • par l’octroi de subventions complémentaires à celles de l’État ;
    • par des cessions foncières à des prix inférieurs au prix du marché ;
    • par la mise en œuvre de baux emphytéotiques ;
    • par des subventions directes à leur Office Public de l’Habitat (OPH)

 

  • Action logement[8] (anciennement le 1 % logement) qui correspond à la Participation des Employeurs à l’Effort de Construction (PEEC), et favorise le logement des salariés ; ces fonds sont utilisés aussi bien en prêts qu’en subventions et pour favoriser le logement locatif ou l’accession à la propriété. En contrepartie de ces aides financières, les collecteurs obtiennent des droits de réservation sur les opérations concernées.

La caisse des dépôts et consignations, prêteur historique du logement social, ne finance pas en subvention, mais en prêt dont les taux d’intérêt sont très sensiblement inférieurs à ceux du marché. Ceci grâce à son statut de gestionnaire de la collecte des fonds du Livret A qu’elle prête ensuite aux bailleurs sociaux. La Caisse exige par ailleurs que ces emprunts soient garantis par les collectivités territoriales, ou à défaut par la CGLLS (Caisse de Garantie du Logement Locatif Social).

En contrepartie de leur garantie ou de leur aide financière, les collectivités reçoivent un droit de réservation sur les logements concernés (la part des logements ne pouvant excéder 20 %).

Les préfectures, les mairies, les organismes collecteurs du « 1% logement », et les bailleurs sociaux sont les réservataires  qui disposent de logements réservés dans le parc social, en fonction du financement qu’ils ont consenti pour leur construction.

Depuis 2007, la Préfecture a délégué 25% de son contingent à la Ville, par le biais d’une convention dans laquelle sont fixés les objectifs à tenir (relogements DALO, accords collectifs, relogements extérieurs).

Les bailleurs sociaux gèrent le parc social.

III – PRINCIPAUX PRODUITS

Ils sont nommés d’après le prêt utilisé pour financer le logement.

  • PLAI (Prêt locatif aidé d’intégration) : Logements destinés aux ménages les plus démunis.

 

  • PLUS (Prêt locatif à usage social) : Destiné aux classes moyennes.

 

  • PLS (Prêt locatif social) : Pour les ménages les plus aisés parmi ceux pouvant prétendre au logement social.

 

Les plafonds de ressources sont publiés tous les ans au J.O. par décret et pour chaque catégorie

 

IV – Les étapes de l’obtention d’un logement social

Etapes de l'obtention d'un logement social

V – La demande de logement social à Rambouillet

 

COMMUNE DEMANDÉE – Etude faite sur l’ensemble des demandes soit 2043

Demande de logement social à Rambouillet

Demande de logement à Rambouillet

Procès-verbal

 Monsieur ROBERT ouvre la séance et fait procéder à l’appel des présents et des représentés. 

 

PRESIDENT, Monsieur Marc ROBERT, Maire 

 

Sont présents : 

Groupe Un nouvel horizon pour Rambouillet 

  1. BARBOTIN, Mme MOUFFLET, M. PIQUET,Mme CROZIER, M.SCHMIDT,M. CINTRAT, Mme POULAIN, Mme LE NAGARD, Adjoints, 

 

Mme CHRISTIENNE, Mme JEZEQUEL, M. PETITPREZ, M. LHEMERY, Mme DEMONT, M. DUPRESSOIR, M.GOURLAN, Mme SIX, Mme YOUSSEF, M. LE MERCIER,  

 

Groupe Rambouillet Renouveau 

  1. M.TROTIGNON,TRANCHANT, 

 

Groupe Rambouillet Bleu Marine 

Mme GUILBAUD, M. CHEVRIER, 

 

Groupe Rambouillet pour tous 

M.JUTIER, 

 

Absents excusés : 

Groupe Un nouvel horizon pour Rambouillet 

Mme MATILLON a donné pouvoir à Mme POULAIN (jusqu’à son arrivée) 

Mme CARESMEL a donné pouvoir à Mme CHRISTIENNE (jusqu’à son arrivée) 

M.FOCKEDEY a donné pouvoir à Mme SIX (jusqu’à son arrivée) 

M.NADJAHI a donné pouvoir à M.DUPRESSOIR (jusqu’à son arrivée) 

Mme KEDINGER a donné pouvoir à M.LHEMERY 

Mme VAIDIE a donné pouvoir à M.SCHMIDT 

M.POISSON a donné pouvoir à M.GOURLAN 

 

Groupe Rambouillet Renouveau 

Mme SANTANA a donné pouvoir à M.TROTIGNON, 

 

Groupe Rambouillet, Ecologique et Citoyenne 

Mme POLO DE BEAULIEU a donné pouvoir à M.JUTIER, 

Groupe Rambouillet pour tous 

Mme ASTRUC, M. LECLERCQ, 

 

Monsieur SCHMIDT et Madame GUILBAUD sont nommés secrétaires de séance. 

 

Monsieur ROBERT indique que le procès verbal de la séance du 27 novembre 2014 sera approuvé lors du prochain conseil municipal. 

 

ORDRE DU JOUR   

CONSEIL MUNICIPAL 

  

14121801 

Modification des représentants du Conseil Municipal au sein 

des conseils d’administration des collèges 

et lycées rambolitains 

 

Monsieur ROBERT annonce que le décret du 24 octobre 2014 relatif à la composition du conseil d’administration des établissements publics locaux d’enseignement prévoit désormais que les dits conseils d’administration comprennent :  

 

« Deux représentants de la communes siège de l’établissement ou, lorsqu’il existe un établissement public de coopération intercommunal, un représentant de cet établissement public et un représentant de la commune ». 

 

De ce fait, il y a lieu de modifier la liste des représentants du Conseil Municipal au sein du conseil d’administration. 

 

Monsieur ROBERT explique qu’il attendait des précisions des services de l’Etat qui ont donné des réponses contradictoires. En conséquence, il part sur le principe de désigner un représentant pour la commune et un représentant pour la Communauté de communes, ce qu’à fait la CCPFY au dernier comité.  

 

Il propose de procéder aux désignations suivantes : 

-Pour le collège de Vivonne : Titulaire Mme MATILLON, suppléante Mme KEDINGER ; 

-Pour le collège du Racinay : Titulaire Mme VAIDIE, suppléante Mme YOUSSEF ; 

-Pour le collège du Rondeau : Titulaire M.NADJAHI, suppléante Mme SIX ; 

-Pour le lycée Louis Bascan : Titulaire Mme CROZIER, suppléant M.PIQUET ; 

 

Monsieur TROTIGNON fait remarquer que le suppléant prévu pour représenter la commune au conseil d’administration du Lycée Bascan, Mme DEMONT est déjà élu en tant que titulaire pour y représenter la communauté de communes. Il propose de changer le représentant de la ville. 

 

Monsieur ROBERT en est d’accord et Mme KEDINGER est proposée en remplacement de Mme DEMONT. 

 

Monsieur JUTIER demande si Madame CROZIER est toujours en poste au Lycée Bascan ? Ce à quoi celle-ci répond par la négative. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstentions : M. CHEVRIER, Mme GUILBAUD) 

 

 

COMMUNICATION SUR LE GROUPE DE TRAVAIL CIRCULATIONS DOUCES 

 

Monsieur ROBERT propose la composition du groupe de travail sur les circulations douces. 

 

Madame JEZEQUEL annonce que dans la continuité du travail mené sur le confort et la sécurisation des trajets et voies cyclables dans la ville réalisé en collaboration avec les associations cyclistes en 2013, le Maire de Rambouillet a créé un groupe de travail regroupant les associations et les élus de Rambouillet pour poursuivre la réflexion autour du schéma présenté en conseil municipal le 15 novembre 2013.  

 

A Rambouillet, les premiers aménagements cyclables ont été créés dans les années 1990. Aujourd’hui, ce sont près de 20 kilomètres de pistes cyclables, bandes cyclables, chaussées marquées de pictogrammes au sol, ou espaces partagés avec les piétons qui existent.  

 

Le futur groupe de travail « Circulations douces », composé d’élus, de techniciens et d’associations de cyclistes – Association Rambolitaine de Cyclistes Urbains (ARC), Cyclotouristes de Rambouillet (CTR) est donc mis en place afin de faire des  propositions pour poursuivre l’amélioration du réseau cyclable dans un contexte financier contraint. 

 

Madame JEZEQUEL rappelle qu’en 2013, la consultation du Schéma Local des Déplacements a donné lieu à des remarques et propositions sur les aménagements cyclables. Celles-ci seront prises en compte pour permettre de faire du vélo un mode de déplacements qui pourra être largement utilisé par les Rambolitains qui le souhaitent.  

 

L’objectif est donc de poursuivre l’amélioration du réseau pour favoriser la pratique du vélo sans exclusive des autres modes de transport : 

 

  • En actualisant le plan présenté lors du Conseil Municipal de novembre 2013 ;  
  • En définissant les axes prioritaires à développer ;  
  • En coordonnant les réalisations d’aménagements avec le Conseil général des Yvelines et la Communauté d’agglomération ; 

 

Madame JEZEQUEL énonce les pistes d’amélioration du réseau cyclable rambolitain :   

L’objectif principal reste de fluidifier le trafic des cyclistes sur les axes nord-sud et est-ouest par la mise en place :  

 

  • double-sens cyclables (aménagement autorisant le cycliste à remonter une rue en sens unique dans le sens contraire de la circulation automobile) ;  
  • de « tourne à droite » (aménagement permettant au cycliste de tourner à droite à un carrefour lorsque le feu est rouge) ;  
  • de « stop tout droit » (aménagement permettant au cycliste de ne pas s’arrêter à un stop dans les intersections en forme de T). 

Et aussi l’amélioration des SAS cyclables : 

 

Gage de sécurité, et d’espace urbain partagé, la coordination et le travail en transversalité des services municipaux (services urbanisme, voirie, développement durable et Département Education Jeunesse pour la partie prévention) sont nécessaires pour prendre en compte tous les éléments à développer de manière cohérente le réseau cyclable et ses aménagements. 

 

Monsieur JUTIER observant que Madame JEZEQUEL a beaucoup insisté sur le vélo lui rappelle que « le premier mode de déplacement doux c’est le piéton ». Il faudra y prêter une grande attention et son groupe a plein d’idées à développer sur le sujet. 

Madame JEZEQUEL rappelle que nous sommes dans un budget contraint. Elle donne la composition du groupe de travail. Elle informe qu’une première réunion se tiendra au mois de janvier 2015, la fréquence sera alors définie. 

 

  • Geneviève JEZEQUEL (élue) en remplacement de Bernard VALETTE,  
  • Alain CINTRAT (élu) 
  • Jacques PIQUET (élu) 
  • Laëtitia ROBERT (Services techniques)  
  • Thibault THILMANT (Services techniques)  
  • Pascal SARRIAU (Services techniques)  
  • Claude VANESTE (ARC)  
  • Patrick MEVAL (cycliste indépendant)  
  • Claude LIEVENS (ARC – Vice Pdt de la Fédération Française des usagers de la bicyclette),  
  • Bernard GORGET (CTR),  
  • Guy ECLIMONT (CTR), 
  • Bruno COLLARD (Rambouillet en transition),  
  • Valérie CAILLOL, (élue), 
  • David JUTIER, (élu), 
  • Jean-Luc TROTIGNON (élu). 

Acte est donné de cette communication 

Arrivée de Monsieur FOCKEDEY 

RESSOURCES HUMAINES 

 

14121802 

Ajustement du tableau des effectifs 

 

Monsieur ROBERT rappelle qu’il s’agit de procéder à un ajustement du tableau des emplois, pour que les emplois budgétés correspondent au plus près aux emplois occupés par les agents. Il convient de supprimer des emplois devenus obsolètes, soit en raison de départ des agents, soit en raison des promotions ou encore en raison de modification dans l’organisation d’un service. Les créations de poste permettent de confirmer des besoins permanents. Les suppressions de poste prennent en compte des départs définitifs.  

Aujourd’hui, il est proposé de procéder aux modifications suivantes :  

En Filière Culturelle : 1 Suppression du grade de conservateur du patrimoine et 1 création au grade d’Assistant de conservation. 

En filière Technique : 1 mise en stage d’un agent « vacataire » du service de la petite enfance et 1 modification horaire du temps de travail d’un agent du service scolaire. 

 

Monsieur JUTIER demande s’il faut, pour la filière culturelle comprendre qu’un agent au grade de conservateur va être remplacé par un agent moins qualifié (assistant de conservation). 

 

Monsieur ROBERT précise que le conservateur a quitté la commune. Suite à ce départ, l’agent ne sera pas remplacé mais il y aura un redéploiement du personnel. Le recrutement au grade d’assistant est destiné à la Médiathèque. 

 

Vote de la délibération : à la majorité (Contre : M. JUTIER) 

 

Arrivée Monsieur TRANCHANT et Monsieur NADJAHI 

 

14121803 

Frais de représentation de la fonction de Directeur Général des Services 

 

Monsieur ROBERT annonce l’arrivée du nouveau Directeur Général des services durant la deuxième quinzaine du mois de janvier 2015. Le choix de ce recrutement est lié à son expérience et à sa carrière exercée dans une autre collectivité avec une rémunération équivalente à celle de l’ancien DGS. 

 

Aujourd’hui, il convient de délibérer pour intégrer dans le salaire du futur DGS des éléments relatifs aux remboursements de ses frais de représentation. 

 

En effet, les agents exerçant des emplois de direction peuvent bénéficier de l’indemnisation des frais de représentation, dans la mesure où ceux ci sont engagés dans le cadre de la mission de représentation qu’ils exercent pour le compte de la collectivité.  La limite des dotations pour frais de représentation à prendre en compte est celle concernant les sous-préfets.  

 

Afin de prendre en compte l’importance des frais de représentation inhérents à la fonction de Directeur Général des Services d’une commune de plus de 20 000 habitants, il est proposé au conseil de retenir le montant déterminé pour les sous-préfets soit 5 460 € par an. 

 

Monsieur TROTIGNON pose deux questions et propose un amendement pour cette délibération. 

 

1ère question : Monsieur TROTIGNON demande de quels frais de représentation il s’agit concrètement. 

 

2ème question : Monsieur TROTIGNON ne se rappelle pas avoir voté ce type d’enveloppe jusqu’à maintenant et demande si cela signifie bien qu’aucun élu ou membre du personnel de la Mairie de Rambouillet ne bénéficie de frais de représentation actuellement. 

 

Enfin, il présente son amendement : « Il est tout à fait anormal, dans votre logique annoncée de rigueur budgétaire à mettre en place dès 2015 pour les années à venir, si vous souhaitez que cette volonté affirmée soit crédible, d’offrir une enveloppe de 5 460 € par an pour des frais de représentation à qui que ce soit, sans qu’il n’y ait la moindre justification de ces frais. Cette enveloppe s’ajoutant à des primes et à un salaire net mensuel d’environ 4 600 € par mois. 

 

Nous avons voté au dernier conseil municipal une autorisation de remboursement de certains frais de notre élue aux jumelages, lors de ses séjours à l’étranger, je cite la délibération : « sous réserve de justificatifs ». Pourquoi y aurait-il 2 poids, 2 mesures ? 

 

Avec le système de l’enveloppe, vous ne rendriez d’ailleurs pas service à votre futur DGS, à qui vous voulez confier la mission des baisses budgétaires annuelles de 2 à 3 % de nos dépenses de caractère général et de nos charges de personnel. Quelle autorité aura-t-il pour ceux qui devront s’y contraindre sous son égide, quand on lui dira que lui-même ne donne guère l’exemple avec son enveloppe qui lui remboursera dans le même temps des frais qu’il n’aura peut-être même pas dépensés ? ». 

 

Monsieur TROTIGNON imagine et espère, que tous les membres du personnel et les élus ne peuvent obtenir de remboursements de frais que sur présentation de justificatifs. Il n’y a donc aucune raison que son groupe, en ce qui le concerne, soit favorable à ce qui ressemble, ni plus ni moins, à « un passe-droit ».  

 

Il présente en conséquence l’amendement suivant, si le Maire juge vraiment que des frais de représentation sont indispensables pour cette fonction et demande de changer la phrase suivante : 

 

« De fixer les frais de représentation inhérents à la fonction de Directeur Général des Services par référence au grade de Sous-préfet dans la limite de 5 460 euros par an. » 

 

pour la remplacer par : 

« De limiter les frais de représentation inhérents à la fonction de Directeur Général des Services, remboursables uniquement sur présentation de factures par ce dernier, à 5 460 euros par an par référence au grade de Sous-préfet.» 

 

Monsieur ROBERT confirme que le directeur général des services sera amené à représenter la collectivité. Cette indemnité semble donc justifiée et justifiable.  

 

Puis, il porte l’amendement aux voix. 

 

Vote de l’amendement :  

 

Pour : Monsieur TROTIGNON, Monsieur TRANCHANT ;  

Abstention : Monsieur JUTIER ; 

Contre : tous les autres membres de l’assemblée. 

 

Monsieur JUTIER demande s’il ne s’agit pas en fait d’un complément de salaire. Cette somme parait en effet énorme et un sous-préfet a, sans nul doute beaucoup plus d’occasion d’être en représentation. Enfin, il rejoint Monsieur TROTIGNON : en période de restriction budgétaire, cela parait être une somme trop importante. 

 

Monsieur ROBERT rappelle qu’il y a de réelles occasions pour un Directeur Général de représenter la collectivité. Ce poste est essentiel dans une collectivité telle que la nôtre et le sera de plus en plus dans les prochaines années. Cette rémunération est un des éléments que nous donnons pour avoir une compétence et une expertise forte. Cela a forcément un coût. 

 

Monsieur TROTIGNON demande ce qui se passera si le total des justificatifs reste inférieur à l’enveloppe votée ? 

 

Monsieur ROBERT observe que ce forfait n’exclut pas des contrôles mais confirme que cette indemnité fait partie des éléments de rémunération. 

 

Monsieur CHEVRIER partage l’avis de Monsieur le Maire. Le poste exigera de grandes qualités et il lui semble inutile « d’ergoter » sur une rémunération de 5 000€. En outre, le futur directeur général aura pour mission de diminuer la masse salariale, ce qui nécessitera de grandes qualités professionnelles. Il remarque que Monsieur TROTIGNON ne s’est pas pour autant ému lorsqu’il a fallu rajouter au dernier conseil municipal une somme de 700 000€ pour la rémunération du personnel et le regrette. 

 

Vote de la délibération : à la majorité (Contre : M. TROTIGNON, M. TRANCHANT, M. JUTIER) 

FINANCES : rapporteur Monsieur BARBOTIN 

 

14121804 

Décision modificative n°3 portant sur le budget principal 

pour l’exercice 2014 

 

Monsieur BARBOTIN précise qu’il convient d’ajuster l’ouverture de crédits en dépenses et en recettes d’investissement et de fonctionnement par décision modificative n° 3 pour le budget principal de l’exercice : il s’agit de quelques ajustements techniques et du versement de la participation de la ville à la CCPFY pour la piscine au sein de laquelle nous bénéficions de créneaux horaires. 

 

Concernant la section investissement, il s’agit d’achats de titres à la SEMIR.  

 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstentions : M. TROTIGNON, M. TRANCHANT, M. JUTIER) 

 

14121805 

Décision modificative n°1 portant sur le budget développement  

économique pour l’exercice 2014 

Monsieur BARBOTIN annonce qu’il convient de rapporter la décision modificative N°1 initiale et de prévoir des crédits au chapitre 024. Lors de cette décision modificative, il a été détaillé l’écriture de cession alors que les opérations de cession détaillées n’apparaissent qu’au compte administratif.  

Au budget, seul figure le produit de la cession au chapitre 024 en recettes de la section d’investissement. 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstentions : M. TROTIGNON, M. TRANCHANT, M. JUTIER) 

 

14121806 

Décision modificative n° 1 portant sur le budget développement culturel  

pour l’exercice 2014 

Monsieur BARBOTIN rappelle qu’il convient d’ajuster l’ouverture de crédits en dépenses et en recettes de fonctionnement par décision modificative n° 1 pour le budget développement culturel de l’exercice 2014. 

Il s’agit d’un changement d’imputation d’une subvention perçue par la ville au titre de l’investissement concernant une demande spécifique pour l’achat du logiciel Hélios. 

Communication sur le budget 2015. 

 

Monsieur ROBERT rappelle que le budget municipal pour l’année 2015 se prépare dans un contexte sans précédent caractérisé par une importante période d’instabilité du fait de la diminution des dotations de l’Etat.  

 

La loi de programmation des finances publiques (2014-2019) proposée par le gouvernement et votée par le Parlement confirme l’annonce faite par le Premier Ministre au lendemain des élections Municipale de 2014. Alors même que les collectivités locales ne participent qu’à hauteur de 9,5% de la dette publique totale, pour la seule année 2015 plus de 3,7 Milliards d’euros d’efforts supplémentaires leur seront demandées (818 000 euros pour la ville de Rambouillet). A cela il faut ajouter les charges supplémentaires comme le sont les nouveaux rythmes scolaires dont le coût, au niveau national, est estimé à 1 Milliard d’euros par an (250000 € pour Rambouillet).  

 

Baisse des dotations de l’Etat et dépenses contraintes nouvelles : en 2015, 2 300 000€ supplémentaires à la charge de la ville de Rambouillet soit l’équivalent de 10 points d’augmentation des impôts locaux ou 85 euros par Rambolitains. 

 

Les communes voient ainsi, dans le même temps et de manière brutale, leurs ressources fortement réduites et leurs charges augmentées par des mesures gouvernementales. Lors du Congrès des Maires, le nouveau Président de l’AMF a ainsi parlé de « mise en danger institutionnelle des communes. »  Dans les territoires, les conséquences ne se feront pas attendre, un rapport sénatorial du 12 novembre 2014 explique que les communes, pour faire face à de telles réductions seront amenées à diminuer de 30% leurs investissements.  

 

De plus, l’Etat prévoit une très forte hausse des prélèvements au titre de la redistribution entre les communes dites riches et les communes considérées comme pauvres. Cette hausse impactera directement Rambouillet. La contribution sollicitée par l’Etat s’établira, en 2015, à 766 000 euros. 

 

En 2015, dans notre ville, l’addition de ces charges nouvelles et de ces baisses de ressources grèvera notre budget de 2 300 000 €. Ce chiffre est à mettre en rapport avec ce que rapporterait l’augmentation d’un point du taux des impôts locaux (200 000 euros).  

L’écart entre les sommes ainsi prélevées sur notre ville et notre potentiel fiscal donne le vertige.  

 

Pour les années à venir, comme cela a été présenté en commission des finances le 16 décembre dernier, la prospective financière nous permet d’évaluer les sommes nouvelles qui seront prélevées si l’Etat ne revient pas sur ses décisions. Elles s’élèveront, entre 2014 et 2017 à 14 millions d’euros soit, si l’on ajoute la part des investissements financés par les subventions, une réduction potentielle des dépenses d’équipement d’environ 18 millions d’euros.  

 

Vers un plan d’ « innovation organisationnelle »  

 

Pour faire face à cette situation nouvelle, la ville de Rambouillet peut s’appuyer sur un important fond de roulement (réserves financières). En 2014 il s’élève à près de 9 millions d’euros. En l’absence de recours à l’emprunt, notre dette a baissée en 2012, en 2013 et continuera de baisser en 2014.   

 

Il faudra aller plus loin, c’est la raison pour laquelle l’équipe municipale établit un plan d’innovation organisationnelle pour contrôler nos dépenses. 

 

Les principales dépenses (entretien des écoles, des crèches, entretien des équipements sportifs et culturel) ne peuvent être réduites aussi vite que le sont les dotations de l’Etat.  

 

Face à ce constat, dès le discours du Premier ministre en avril dernier nous avons agi pour proposer un plan d’actions qui comporte six points : 

 

1- ) Dimensionner nos investissements :  

 

Pour construire l’avenir, la ville de Rambouillet continuera à investir dans chacun de ses quartiers. Certains projets pourront être reportés ou redéfinis pour tenir compte d’un contexte nouveau notamment lors des prochains arbitrages budgétaires.  

 

2- ) Profiter des 70 départs en retraite à l’horizon 2020 pour réaliser un plan d’ajustement des ressources humaines :  

 

Une démarche d’arbitrage en matière de ressources humaines est menée pour limiter l’utilisation des heures supplémentaires, les vacations et les remplacements lors d’absence. Des efforts ont été réalisés cette année. En 2014 le budget prévisionnel concernant les heures supplémentaires était de 350 000 euros, 255 000 euros devraient être consommés.  

 

Une analyse précise est d’ores et déjà engagée avant chaque remplacement, lors des départs à la retraite ou suite à des mutations. Cette démarche vise à compenser l’augmentation automatique de la masse salariale liée au glissement de vieillesse et technicité (GVT) et donc de geler les dépenses de personnel.  

 

3- ) Etablir un audit financier et organisationnel :    

 

Cet audit, dans lequel les agents auront un rôle essentiel, vise à déterminer précisément les gains de productivité qui peuvent avoir lieu dans chaque service, les économies réalisables et les mutualisations nécessaires. Il s’agira d’un véritable « observatoire RH et financier » autour d’outils de mesure des compétences, de définition des besoins et d’accompagnement des services dans leurs missions auprès des rambolitains.   

 

4- ) Construire une nouvelle organisation : 

 

Cette nouvelle organisation sera le fruit de l’audit précédemment réalisé.   

 

5- ) Créer des synergies avec l’intercommunalité :  

 

Ville centre de notre intercommunalité, la ville de Rambouillet dispose de compétences et de savoirs faire qui pourraient être partagés dans le cadre de notre future communauté d’agglomération. Un groupe de travail conjoint a été mis en place dans ce sens pour préparer un schéma de mutualisation conformément, à la loi MAPTAM.  

 

6- ) S’appuyer sur de nouvelles ressources : 

 

Ce plan nous permettra d’encore mieux d’utiliser nos ressources. A Rambouillet depuis deux ans les impôts n’ont pas augmenté.  

 

Stabilité de la pression fiscale en 2015 

 

Une nouvelle fois en 2015 nous n’augmenterons pas nos impôts et nous nous engageons à continuer de maitriser notre pression fiscale et à faire le maximum pour limiter impôts et tarifs. 

 

Si les annonces du gouvernement dans les années à venir étaient maintenues, la situation deviendrait intenable sans remise en cause profonde des services rendus à Rambouillet et auxquels nous sommes légitimement attachés, ou sans augmentation de la fiscalité malgré les actions audacieuses que nous menons et dont le fruit portera à moyen terme.  

 

Je le répète, nous ferons tout pour maintenir à la fois la qualité des services et une fiscalité maîtrisée mais nous devons faire entendre notre voix pour que le rôle de proximité des communes qui sont au cœur de nos institutions ne soit pas remis en cause.  

Monsieur ROBERT rappelle que tous ces axes seront évidement abordés plus précisément et que l’équipe municipale est prête à gérer cette difficulté. 

Monsieur CHEVRIER ne peut soutenir cette démarche mais il reste à la chiffrer et pour le moment il ne s’agit que d’intentions. Il est vrai que la baisse des dotations de l’Etat est très brutale et très dure à supporter pour les communes mais il fait remarquer que 501 personnes pour gérer la ville c’est beaucoup. « C’est l’occasion de mettre les pendules à l’heure et de rétablir une certaine vérité à la Mairie ». Cependant, il aurait aimé notamment une diminution des effectifs au moment de la création de l’intercommunalité 

Monsieur ROBERT précise que la ville compte 483 salariés et non 501 personnes et qu’il y a eu des transferts de personnel. La CCPFY compte actuellement du personnel qui était auparavant du personnel communal comme celui de la piscine, du CIAS et du Conservatoire de musique. Ce personnel a été transféré. 

Monsieur CHEVRIER craint que nous soyons, comme au niveau national, dans le cas où l’on a créé des postes supplémentaires et qu’un étage supplémentaire apparaisse dans le « millefeuille administratif » avec la communauté de communes. 

Monsieur ROBERT observe que les possibilités qui existent en entreprise ne sont pas les mêmes qu’en collectivités locales. Même, certains des 70 départs à la retraite devront être remplacés. 

Monsieur CHEVRIER rétorque que la précarité existe aussi dans les collectivités territoriales avec les vacataires et les contractuels. Cela peut sembler terrible mais c’est un choix possible voire une nécessité. 

Monsieur GOURLAN précise que les 136 salariés à la CCPFY viennent pour 2/3 des transferts et que le tiers restant relève de la création de nouveaux services tels que le service public d’assainissement non collectif (SPANC), l’EPNC, le développement économique que constitue les équipes de direction et d’administration. Seules les mutualisations permettront de réaliser des économies. 

Monsieur BARBOTIN fait remarquer que les vacataires et les non titulaires répondent souvent à des besoins permanents, et qu’ils permettent d’assurer un service dans une organisation moins contrainte. 

Monsieur JUTIER souhaite connaitre la composition du groupe chargé des travailleurs sur les mutualisations. 

Monsieur ROBERT répond que les membres des deux directions générales travaillent à ce projet de mutualisation. 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstentions : M. TROTIGNON, M. TRANCHANT, M. JUTIER) 

URBANISME: rapporteur Monsieur PIQUET 

 

14121807 

Application de la participation pour voirie et réseaux pour le projet de construction d’un programme immobilier par la société TAGERIM 

rue de Clairefontaine, rue de Paris 

Monsieur PIQUET rappelle que cette nouvelle délibération annule et remplace la délibération du 23 septembre 2014, en raison d’une erreur matérielle concernant le taux de TVA appliqué. 

Il s’agit de corriger le décalage du taux de la TVA de 19,6% à 20% soit un montant de 211,09€ de plus. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121808 

Application de la participation pour voirie et réseaux pour le projet de construction d’un programme immobilier par la société JJEP 

31 rue de la Louvière 

Monsieur PIQUET rappelle que cette nouvelle délibération annule et remplace la délibération du 23 septembre 2014, en raison d’une erreur matérielle concernant le taux de TVA appliqué. 

Il s’agit là aussi d’un écart dans le taux de la TVA entre la 1ère et la 2ème délibération pour un montant de 17,10 € de plus. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

 

14121809 

Autorisation donnée au Maire de signer une convention 

entre la ville et l’indivision AUBERT 

Monsieur PIQUET annonce que cette convention définit les conditions d’utilisation d’un passage commun appartenant à la ville, permettant d’accéder aux parcelles, propriété de l’indivision AUBERT. Celles-ci seront accessibles par un portail installé en limite de propriété à la charge de l’indivision AUBERT. 

Monsieur PIQUET indique que ce droit de passage porte sur une venelle de livraison limitée et constitue un droit exclusivement personnel. Les conseillers municipaux ont eu communication de ladite convention. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

  

14121810 

Autorisation donnée au Maire de déposer un permis de construire 

pour la réfection d’une partie de la toiture 

de l’église Saint-Lubin 

Monsieur PIQUET informe que la toiture de l’église Saint-Lubin, à l’arrière du tabernacle, marque une usure prononcée générant des fuites récurrentes à l’intérieur du bâtiment. Il y a donc lieu de procéder à des travaux de réfection. 

La toiture restaurée sera recouverte d’ardoises naturelles type « Monuments historiques » L’’Architecte des Bâtiments de France (ABF) a validé ce projet. 

Monsieur PIQUET précise qu’aujourd’hui l’endroit est bâché afin d’éviter les infiltrations à l’intérieur de l’église. 

Monsieur CHEVRIER demande le coût des travaux et Monsieur PIQUET répond que le coût est, à l’heure actuelle, inconnu. 

Monsieur JUTIER demande à qui appartient le bâtiment et qui a en charge l’entretien selon la Loi de 1905 ? 

Monsieur PIQUET et Monsieur ROBERT répondent que cet édifice est une propriété de la commune classé aux monuments historiques, ce qui explique que l’avis de l’ABF soit requis. Cela permettra également d’obtenir des subventions. La commune au titre de la Loi de 1905 doit en assurer l’entretien. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121811 

Autorisation donnée au Maire de signer une convention d’études relative 

aux mesures à adopter sur les ouvrages de GRT Gaz 

dans le cadre du projet d’aménagement 

du Pont de la Mare aux Moutons 

 

Monsieur PIQUET annonce qu’actuellement une étude est en cours avec SNCF et RFF pour l’élargissement de la chaussée sous le pont de la Mare aux Moutons. Des ouvrages de GRT gaz sont aujourd’hui situés sous l’emprise de la voirie. La ville de Rambouillet a donc demandé à GRT gaz d’étudier les mesures à mettre en œuvre sur les ouvrages concernés.  

Cette demande a fait l’objet d’une étude d’opportunité, dont les conclusions ont été adressées à la ville le 25 septembre 2014 puis présentées lors d’une réunion avec les services municipaux le 17 novembre 2014. Lors de cette réunion, la ville s’est prononcée sur la poursuite des études dites de faisabilité.  

Ces études permettront de valider les mesures requises sur les ouvrages de GRT gaz (déplacement, protection et/ou adaptation) présentées dans l’étude d’opportunité. Le cas échéant, de confirmer la faisabilité, le coût et le délai de ces mesures.   

La ville souhaite notamment que soient étudiées les solutions techniques suivantes :   

 

  • modification de la canalisation qui traverse le pont ; 
  • mise hors service de la canalisation existante. 

 

Les études seront menées dans le délai de 4 mois à compter de la signature de la convention. Le prix des études est de 25.000€ HT. 

Le conseil municipal autorise Monsieur le Maire à signer la convention. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121812 

Demande de subvention au titre du Fonds National d’Aménagement et de Développement du Territoire (FNADT) concernant le projet 

d’aménagement du pôle gare à Rambouillet 

 

Monsieur PIQUET rappelle que le Fonds National d’Aménagement et du Territoire (FNADT) a vocation à soutenir, en investissement comme en fonctionnement ; les actions qui concourent à mettre en œuvre les choix stratégiques de la politique d’aménagement du territoire.  

A ce titre, il constitue un des instruments de la politique d’aménagement du territoire qui est prioritairement mobilisé pour les projets relevant du contrat de projets Etat-Région (CPER). 

Il ajoute que dans le cadre du volet territorial du Grand projet 3 du CPER Ile-de-France intitulé « renforcer l’attractivité de l’Ile-de-France », l’Etat et la Région accordent une priorité aux secteurs stratégiques (territoires d’intérêt régional et national).  

Ils ont cependant choisi d’accompagner également les collectivités dans la mise en œuvre de projets intégrés, répondant aux objectifs de développement durable et s’inscrivant dans une vision à long terme (soutien aux dynamiques territoriales de cohésion et d’innovation). 

Les critères proposés pour bénéficier de l’aide sont les suivants : 

  • L’opération doit avoir une taille significative et avoir un impact structurant sur le territoire : elle doit comporter une offre de logements importante et offrir une diversité des programmes de logements, en accord avec les besoins du territoire. 

 

  •  Le quartier doit être desservi par un transport en commun structurant ; 

 

  •  La conception du quartier devra être exemplaire en matière d’aménagement durable et faire l’objet d’une démarche intégrant les objectifs d’aménagement durable à toutes les étapes du processus, de la conception à la réalisation des projets. 

 

Monsieur PIQUET précise que pour chaque projet d’éco-quartier retenu, le financement FNADT a pour objectif d’accompagner un objet donné qui concourt à la mise en œuvre opérationnelle de l’éco-quartier (équipement, aménagement structurant, politique foncière, dispositif de production d’énergie…). 

 

Un contrat est signé entre l’Etat et le porteur du projet. Celui-ci rappelle les grands enjeux d’aménagement durable à la double échelle territoriale et du projet et précise le processus opérationnel du projet. Il définit également, les modalités d’accompagnement financier de l’Etat. 

Ce type de financement constitue une opportunité pour le projet du quartier gare, qui remplit plusieurs des conditions d’éligibilité. 

La ville de Rambouillet souhaite requalifier, restructurer et valoriser le quartier de la gare, celui-ci s’étendant de part et d’autre des voies ferrées.  

 

Les principaux objectifs de la ville sont, à moyen et long termes, de : 

 

  • Créer un pôle gare en lien avec la ville et affirmer une centralité ;

 

  • Créer un nouveau quartier à l’Est des voies ferrées, sur des terrains appartenant pour  

l’essentiel à des personnes publiques ; 

 

  • Modeler une nouvelle entrée de ville ferroviaire ;

 

  • Créer du lien entre les quartiers situés de part et d’autre des voies ferrées ; 

 

  • Accueillir de l’activité au niveau du quartier de la gare ouest : équipements, commerces  

de proximité et/ou bureaux ; 

 

  • Réorganiser et valoriser le quartier existant a l’Est des voies ferrées ;

 

  • Restructurer la rue de la Louvière.

 

La création du quartier de la gare s’inscrit dans le nouveau parti urbanistique de la commune : réduction de la consommation d’espaces et protection des zones naturelles, agricoles et des ressources. 

 

Le Conseil Municipal autorise Monsieur le Maire le Maire à solliciter cette subvention au titre du F.N.A.D.T.   

 

Monsieur CHEVRIER estime qu’il s’agit d’un projet important, et demande si les élus pourraient avoir un plan de masse du projet ? 

 

Monsieur PIQUET répond qu’il n’y a pas encore de plan de masse mais qu’en revanche il est possible de donner les plans des terrains et zones concernées. Il rappelle que ce projet est lancé depuis longtemps et que plusieurs hypothèses ont été étudiées lors de nombreuses réunions et comités de pilotage. Le coût estimatif était fixé aux alentours de 26 millions d’euros, d’où l’arrêt du projet par la ville. Il pourra donner les plans du territoire concerné, les terrains de l’Etat et de la ville sont déjà matérialisés. Cependant, ceux appartenant à RFF/SNCF ne figurent pas dans ce périmètre mais ils pourraient y revenir.   

 

Monsieur JUTIER estime que c’est une bonne chose que les terrains de la SNCF et de RFF ne soient pas concernés, car les réserves foncières servent en général à améliorer le réseau ferré et il serait dommage de se priver de cette possibilité. 

 

Monsieur PIQUET observe que l’emprise proposé prend en compte cette possible évolution du réseau et des transports : elle ne prend pas en compte les terrains RFF/SNCF nécessaires pour les extensions de voies ferrées. Les terrains actuellement écartés du schéma le sont pour cause de prix, ce qui peut évoluer favorablement. 

 

Monsieur JUTIER s’abstiendra il n’a pas encore le détail de ce que sera cet éco-quartier. Le volet 3 du contrat de Projet État-Région (CPER), qui veut renforcer l’attractivité de l’Ile de France ne lui semble pas aller dans le bon sens car la région est déjà saturée. Cet objectif ne va pas dans le sens de sa vision de la politique territoriale qu’il faudrait avoir. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstention : M. JUTIER) 

Arrivée de Madame CARESMEL 

HABITAT  

 

COMMUNICATION SUR LE LOGEMENT SOCIAL A RAMBOUILLET 

 

Madame MOUFFLET rappelle que la ville de Rambouillet se rapproche des 25% exigés par la loi pour l’accès au logement et à un urbanisme rénové (Loi ALUR) et poursuit sa politique menée en matière d’équilibre de l’habitatElle applique un même principe : pour 100 logements construits, 25 le sont en social et 10 en logement intermédiaire.  

A l’avenir la collectivité prévoit d’intégrer des logements, entre 5 et 10%, en accession à la propriété. De diversifier ses offres et de répondre à toutes les situations qui peuvent se présenter au cours des différentes étapes de la vie : telle est à Rambouillet la politique du logement social. 

 

Madame MOUFFLET précise que les 2 419 logements sociaux de Rambouillet sont répartis au sein de six bailleurs sociaux :  

Il s’agit de : 

 

  1. LA SEMIR 

 

Tout d’abord, la Société d’économie mixte immobilière de RAMBOUILLET dont la ville est l’actionnaire principale. 

 

Créée en 1954, elle joue un rôle social très important au sein de la collectivité. C’est une « locomotive » pour les autres bailleurs notamment à travers le club inter-bailleur. 

La SEMIR est une médiatrice très active sur le terrain. 

 

Les 918 logements se répartissent ainsi : 

 

  • 705 familiaux 
  • 115 logements personnes âgées 
  • 80 logements étudiants 
  • 18 logements jeunes 

 

-Les logements familiaux se situent à la Louvière (Rue du Muguet et Kennedy), au Racinay, Rue Patenôtre (Résidence Laigneaux), à Groussay (Fontaine de Rambeuil et Résidence Antoinette Vernes). 

 

-Les logements pour personnes âgées (RPA) de grands F1 et des F2 pour les couples en plein centre ville : Rue d’Angiviller et Rue Paul Doumer. 

 

-Les logements étudiants : 80 chambres Rue Vernes,  

 

-Les logements jeunes : Ce sont des logements passerelles gérés par un guichet unique qui se trouve au DEJ. 

 

Ce sont des baux de 23 mois et le jeune ne doit pas être âgé de plus de 30 ans. 

La sélection est liée à l’urgence de la situation du jeune qui est suivi tout au long de son séjour. 

 

LES PROJETS DE LA SEMIR 

 

  • Résidence Etudiants : 42 Rue Patenôtre. 90 chambres, livrées à la rentrés du mois de Septembre 2014. 

 

  • La sablière : 73 logements dont 45 en logements familiaux (14 T2, 22 T3, 9 T4) et 28 logements (T2) en faveur des jeunes travailleurs, ils seront livrés dans 2 ans. Construction d’une micro-crèche par la CCPFY. 

 

  • Nickel : 20 logements, type petites maisons en accession sociale. 

 

  1. L’OPIEVOY  

 

C’est un office public HLM dont le siège est à Versailles et qui fonctionne en Directions Régionales : L’OPHLM de Rambouillet dépend de l’agence de Plaisir. 

L’OPIEVOY gère 45 000 logements en île de France (dont aucun à PARIS). 

 

LOGEMENTS FAMILIAUX (717)  

 

LES EVEUSES   

 

  • Un collectif de 33 logements construits en 1933 en réhabilités en 2000  
  • 23 petits pavillons, construits en 1932 et réhabilités en 2002. 

 

12 SQUARE DES CARRIERES  

 

  • 2 logements dans un pavillon indépendant. 

 

GRENONVILLIERS   

 

  • Du 29 au 39 Rue de Grenonvilliers : 2 bâtiments comportant 60 logements en tout, construit en 1962 et réhabilités en 1995. 
  • 3 petits immeubles et 78 logements, construits en 1982 et réhabilités en 1994. 
  • 21 petits pavillons, construits en 1979 et ravalés en 2011. 

 

GROUSSAY 

 

  • Les Marais : 206 logements répartis en 5 bâtiments. 

De gros travaux d’isolation thermique et phonique viennent d’être terminés. Construits dans les années 1970. 

 

  • Square René Coty : 81 logements construits en 1963. 

En attente d’une grosse réhabilitation. 

 

  • Résidence Saint Louis : 59 logements construits en 1996. 

 

LA LOUVIERE 

 

  • Rue Auguste Moutié et Rue des Ecoles. 
  • 136 logements construits en 1958, réhabilités en 1992 et 1995 et en attente d’une nouvelle réhabilitation sur le plan énergétique. 
  • La Mare Hubert : 21 logements construits en 1993. 

LES PROJETS DE L’OPIEVOY 

 

  • Réhabilitation de Coty 

 

Celle-ci prévoit : la réfection des pièces humide, le changement de tous les sanitaires, la réfection électrique, la peinture et le changement des sols. 

 

L’appel d’offre de Mai 2014 a été infructueux. 

 

Début d’étude pour la réhabilitation à la Louvière (136 logements) dont le 1er axe est la performance énergétique. 

 

  1. DOMNIS (Foyer pour tous) 

 

Grand bailleur également en île de France. 

 

  • 523 logements familiaux à Rambouillet. 

RESIDENCE PIERRE ET MARIE CURIE  

 

  • 285 logements construits en 1977, réhabilité en 1996. 

RESIDENCE PASTEUR   

 

  • 112 logements construits en 1966. 

PAVILLONS PASTEUR (8) 

 

  • 8 logements en petites maisons construits en 2005 pour les familles : 6 F4 et 2 F3 avec un petit jardin. 

RESIDENCE CHASLES    

 

  • 43 logements construits en 1986. 

ARBOUVILLE   

 

  • 11 au 17 Rue d’Arbouville : 27 logements construits en 1986. 
  • 81 Rue d’Arbouville : petit immeuble de 6 logements réhabilités en 2007. 

RESIDENCE VERNES   

 

  • 42 logements construits en 1993. 

 

LES PROJETS DE DOMNIS 

  • La rénovation de la Résidence Curie : remplacement des huisseries, peinture des parties communes, aménagement des espaces extérieures, réfections des étanchéités des terrasses. 

 

  • A la croisée des Bois : Construction de 40 logements livrés dans 2 ans. 

 

  1. SOGEMAC  

 

SOGEMAC Signifie Société de Maintenance, d’Aménagement et de Construction. 

La ville est actionnaire de la SOGEMAC. Fondée en 1928 à l’initiative d’associations d’anciens combattants. 

 

LOGEMENTS FAMILIAUX (324) 

 

LE BEL-AIR   

  • 180 logements répartis en 9 bâtiments (Avenue du Maréchal Juin). Construits en 1970. Le ravalement se termine avec l’isolation phonique et thermique. 

LES MARAICHERS    

  • 40 logements à l’angle de la Rue Dreyfus et Pasteur 

LA RESIDENCE LES YVELINES   

  • à côté de la gare (Rue Sadi Carnot) – 38 logements 

LA MUSTIERE   

  • Rue Lachaux – 26 logements  

 

LE CHARLEMAGNE   

  • aux Eveuses (Rue Konrad Adenauer), 40 logements tous adaptés PMR construits en 2007. 

 

UNE RESIDENCE SOCIALE TYPE MAISON-RELAIS : LA RESIDENCE DES BUISSONS  

 

A ouvert ses portes en décembre 2012, celle-ci est gérée par le CCAS. 

Elle accueille les personnes entre 25 et 60 ans désocialisées souvent en difficultés financières et/ou morales sur orientation d’un travailleur social. 29 logements répartis en 23 places « Maison-relais » et 9 places d’urgences et 1 logement type F3 pour l’hôte. 

 

LES PROJETS DE LA SOGEMAC 

 

Il y a 18 mois, celle-ci à livrée « la Maison-relais » 

 

Rappel : amélioration énergétique avec les travaux au Bel-air qui se terminent  

 

  1. ANTIN RESIDENCE (quartier de Château-Bazin) 

 

  • 100 logements en maisons mises en vente aux locataires occupants en priorité : 40 restent en location actuellement. 

 

  1. IMMOBILIER 3F 
  • 31 logements Allée aux Lapins 

 

  1. LOGEMENTS CHEZ L’HABITANT 
  • Une liste de 50 chambres chez l’habitant est gérée par le Service Habitat. 

 

En conclusion, l’objectif commun des bailleurs est de répondre à la demande sociale en matière de logement, de garantir le suivi, d’entretenir et de réhabiliter leur patrimoine et enfin de construire de nouveaux logements. 

 

Le rôle des gardiens est essentiel : ils sont présents sur tout le patrimoine social de la Ville. Ils sont les premiers au contact des locataires : leur rôle est désormais social. 

 

A la fin de cette présentation, Monsieur TROTIGNON demande à Madame MOUFFLET la date de livraison des logements étudiants de la rue Patenôtre. Celle-ci devrait ouvrir pour la prochaine rentrée, mais il n’y a actuellement aucune certitude. 

 

Monsieur CHEVRIER alerte le conseil sur le mauvais état des logements situés rue des écoles, et notamment celui des cages d’escalier qui apparaissent insalubres. 

 

Madame MOUFFLET précise que les travaux sont envisagés et que l’OPIEVOY étudie la possibilité de fermer les coursives qui exposent les portes d’entrée à la pluie. 

 

A la demande de Monsieur le Maire, une interruption de la séance a eu lieu pendant cinq minutes. 

MARCHES PUBLICS: rapporteur Monsieur PIQUET 

 

14121813 

Signature des marchés de travaux concernant la restructuration 

de la médiathèque Florian 

 

Monsieur PIQUET rappelle que lors de la commission d’appel d’offres du 2 décembre 2014, la ville de Rambouillet a procédé à une mise en concurrence sous la forme d’un marché à procédure adaptée en seize lots pour les travaux de restructuration de la Médiathèque Florian. Celle-ci a donné un avis favorable pour retenir l’offre des candidats suivants : 

 

-Lot 1 : démolition : RUDO CHANTIER pour un montant de 47 000,00 € HT ; 

-Lot 2 : gros œuvre : MOLINARO   pour un montant de 90 000,00 € HT ; 

-Lot 3 : ravalement : ENTREPRISE MAES ET CIE pour un montant de 58 651,25 € HT ; 

-Lot 4 : couverture étanchéité : ARBLADE  pour un montant de 99 946,95 € HT  

(offre variante « sans cheds ») ; 

-Lot 5 : menuiserie extérieure : MENUISERIE ROUGEOT – ART DES BOIS  pour un montant   

de 98 500,00 € HT ; 

-Lot 6 : CVC plomberie : SERT pour un montant de 225 000,00 € HT ; 

-Lot 7 : électricité courant fort/courant faible : SNER – un montant de 161 068,33 € HT ; 

-Lot 8 : ascenseur : EGERI APEM pour un montant de 26 000,00 € HT ; 

-Lot 9 : cloisons doublage plâtrerie plafonds : SERTAC- un montant de 94 794,00 € HT ; 

-Lot 10 : menuiserie intérieure : JPV BATIMENT  pour un montant de 65 983,41 € HT  

(offre+ variante « placard 2 » + option « kitchenette ») ;            

-Lot 11 : métallerie serrurerie : LES CHARPENTIERS DE PARIS  pour un montant    

de 60 000,00 € HT (offre + option « garde-corps barreaudage ») ; 

-Lot 13 : sol souple carrelage faïence : SOCIETE GRIF – un montant de 80 000,00 € HT ; 

-Lot 14 : peinture : BOUGET L pour un montant de 27 000,00 € HT. 

 

Monsieur PIQUET précise que le lot 15 sera réalisé par les services techniques (aménagements extérieurs paysagers) que le lot 16 sera revu ultérieureument  (sonorisation). Ainsi que le permet le code des marchés publics, ces deux lots ainsi que le lot 12 peuvent être déclarés sans suite par le Maire. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstention : Mme GUILBAUD) 

SERVICES TECHNIQUES ET DEVELOPPEMENT DURABLE 

 

14121814 

Marchés forains – Révision du tarif des droits de place 

et de la redevance 2015 

 

Madame CROZIER rappelle que le contrat d’affermage relatif à la gestion des marchés forains et des fêtes foraines de la ville de Rambouillet signé le 23 avril 2009 prévoit en son article 14 une révision annuelle des tarifs des marchés, des fêtes foraines, de la redevance et du seuil d’intéressement au 1er janvier de chaque année. 

 

Monsieur TROTIGNON relève que l’éventuel changement de délégataire doit intervenir le 1er mai soit à quelques jours de la fête du Muguet. Il faudra donc être vigilant et anticiper ce problème. 

 

Le conseil municipal adopte les tarifs proposés. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121815 

Approbation des modifications du règlement 

du service de l’assainissement 

 

Monsieur LHEMERY informe que le règlement du service assainissement a été rectifié et apporte des précisions sur ces modifications.  

 

  • Pour plus de lisibilité, celui-ci a été scindé en deux : un règlement du service d’assainissement domestique collectif (10 pages) et un règlement du service d’assainissement non domestique (70 pages) (intégrant les rejets des eaux usées assimilées domestiques – voir liste ci-dessus – et non domestiques type industriels),  

 

  • Des précisions ont été apportées sur la qualité des rejets d’eaux usées acceptés sur le réseau, avec une illustration schématique pour une meilleure appréhension des riverains,  

 

  • Des précisions ont été apportées sur la qualité des rejets acceptés d’eaux pluviales acceptés sur le réseau, définition des périmètres de protection rapprochée des forages d’eau potable. 

 

Ces documents ont été présentés en Commission Consultative des Services Publics Locaux lors de sa séance du 1er décembre 2014. 

Ces nouveaux règlements seront envoyés pour le domestique aux abonnés lors d’un envoi de facture et pour le non domestique sur demande. 

 

Monsieur ROBERT pointe l’intérêt qu’il y a à pouvoir expliquer aux usagers des termes et des notions très techniques grâce à cette présentation. 

 

 Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121816 

Remboursement de frais de mise en fourrière automobile 

 

Monsieur CINTRAT propose de procéder au remboursement des frais de mise en fourrière du véhicule de Madame Axelle BROUTTIER. En effet, suite à un dysfonctionnement, ce véhicule   a été   mis en fourrière le 1er novembre 2014. Le montant du remboursement est de 128,92 €. 

 

Monsieur CINTRAT rappelle qu’il s’agit d’un événement tout à fait exceptionnel. Cela s’était déjà produit lors du Tour de France, qui toutefois relevait d’une grande organisation. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

SPORT 

 

14121817 

Tarification des installations sportives municipales 

 

Monsieur BARBOTIN rappelle que depuis 2010, les tarifs des installations sportives municipales n’ont pas évolué. De plus, depuis cette date, certains équipements ont été créés ou ont été intégrés à la gestion municipale. 

 

Il convient donc de réactualiser la redevance de mise à disposition pour utilisation privative des installations sportives municipales et de proposer. L’application des nouveaux tarifs de cette redevance dans toute convention de mise à disposition d’équipements sportifs municipaux signée à compter du 1er janvier 2015 et l’exonération de cette redevance pour : 

 

-les associations rambolitaines, 

-les associations non rambolitaines, sous réserve d’un avis favorable de la commission consultative des sports (en lieu et place dans la précédente délibération de la gratuité pour certaines associations locales), 

 

Monsieur BARBOTIN fait remarquer que trois associations non rambolitaines, mais ayant leur activité sur la ville ne paient pas la redevance (Club de la Savate, l’Association Réseau Yvelines Santé Cancer (RYCS) et la retraite sportive. Les structures qui paient sont de deux ordres.  

 

-Les comités d’entreprises (2 utilisent nos structures) et les organisateurs de tournois qui ne sont pas à l’initiative des associations rambolitaines (exemples : les fédérations sportives). 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

EDUCATION JEUNESSE 

 

14121818 

Fixation des tarifs des séjours hiver et printemps 2015 

 

Madame POULAIN annonce qu’il s’agit de proposer des tarifs concernant : 

1- ) Un séjour hiver ouvert aux enfants de plus de 8 ans à Samoëns, du 14 au 21 février 2015, à raison de 20 places pour les enfants scolarisés en classes élémentaires et 20 places pour les adolescents âgés de 12 à 17 ans. 

Ce séjour est basé sur un projet éducatif en complément de l’action éducative familiale, sans se substituer à la cellule familiale. 

Les objectifs généraux sont : 

– de favoriser la vie en collectivité et l’autonomie ;
– de développer un esprit convivial et sécurisant pour chacun ;
– de permettre aux enfants comme aux jeunes de découvrir la montagne et les différents sports d’hiver (ski, snow board, randonnée en raquettes, randonnée pédestre, patinoire, sorties culturelles relatives au patrimoine historique de la région et activité chien de traineau). 

Le groupe est accueilli dans un chalet (prévu pour 51 personnes en pension complète). 

Les moyens humains utilisés sont : 

– l’équipe d’animation du Département éducation jeunesse (6 animateurs professionnels ayant la qualification et la compétence requise) ;
– le chauffeur du car pendant tout le séjour ;
– le gérant du chalet et son équipe pour la gestion des repas ;
– une personne pour l’entretien des locaux ;
– les prestataires des services de la station (moniteurs ESF…) 

2- ) Un séjour au printemps est prévu du 18 au 25 avril 2015 pour 12 adolescents. 

Le lieu reste à définir ; en effet, pour participer à ces séjours, le DEJ souhaite développer le sens de l’autonomie et des responsabilités chez les jeunes et leur propose des activités dans le cadre « d’agir pour partir » ; ces activités font l’objet de conventions signées avec la ville ou avec d’autres organismes et sont encadrées par des animateurs. Pour ce séjour, l’activité est la rénovation de la maison en bois qui est à l’hippodrome, d’autres chantiers étaient des travaux de peinture pour l’OPIEVOY, des mises en rayon de livres à la médiathèque. 

Les tarifs 2015 : Ils sont augmentés de 2 % par rapport à 2014. 

Pour les élémentaires, le tarif rambolitain tient compte du quotient familial et de la fratrie, il y a un tarif différent pour l’extérieur. 

Il est envisagé dans le cadre de la mise en place d’un futur logiciel de recalculer et de simplifier ces tarifs et ces quotients familiaux. 

Pour les tarifs des adolescents, il y a un tarif unique pour Rambouillet car les activités pratiquées par les jeunes font l’objet de subventions venant en déduction du coût du séjour (pouvant aller jusqu’à 10 % du coût pour la famille). 

 

 

Bilans financiers des séjours : 

On observe entre 2011 et 2013 une baisse des dépenses de 41,3 % pour les séjours enfants correspondant aux efforts financiers demandés. 

Par ailleurs, en 2013, pour ces mêmes séjours, les familles ont été sollicitées à hauteur de 34 %, la ville pour 64,59 % et le CCAS pour 1,41 %. 

En conclusion, ces séjours se veulent, pour chaque enfant ou adolescent, être un séjour de qualité et de convivialité, qui feront l’objet d’évaluations. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité des votants (Abstention : M. JUTIER) 

PETITE ENFANCE 

 

14121819 

Modification de l’agrément Conseil Général de la crèche 

familiale « La Farandole » 

 

Madame CARESMEL rappelle que la crèche de la Farandole a été créée en 1979 et qu’à l’époque, elle était la seule structure qui accueillait les touts petits enfants. 

C’est pourquoi son agrément portait sur 80 assistantes maternelles. Jamais ce nombre n’a été atteint : on a compté au plus entre 60 et 65 assistantes dans les années 1980 pour arriver à 50 assistantes dans les années 1990. 

Au cours des années 2000 et compte tenu des constructions de crèches collectives et de l’apparition des haltes-garderies, le nombre des assistantes s’est maintenu autour de 40/42 pour atteindre ensuite une moyenne de 30 à 35 assistantes. 

Cette « baisse » de places (il faut compter en moyenne deux enfants gardés pour une assistante) se trouve compensée par les nouvelles places créées. Celles-ci vont permettre d’entreprendre un partenariat avec une crèche privée pour 12 berceaux en 2008 dans le cadre de la diversification de nos modes de gestion. 

Depuis 2011, la collectivité réserve par le biais d’un marché public, 26 berceaux au sein de cette crèche. 

 

Madame CARESMEL précise que c’est ce qui amène aujourd’hui à modifier cet agrément de la crèche familiale municipal « La Farandole » en demandant au Conseil Général (PMI) de porter la capacité à 80 places pour 35 assistantes. La CAF soutient ce projet au travers des préconisations faites au cours de ses visites de contrôle. 

 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

AFFAIRES INTERCOMMUNALES 

 

14121820 

Présentation du rapport annuel d’activités 2013 de la C.C.P.F.Y. 

 

Monsieur GOURLAN fait une rapide synthèse du rapport d’activités 2013 de la Communauté de communes. 

 

Il annonce qu’elle s’est réunie 9 fois en bureau communautaire et 10 fois en conseil communautaire. Trois nouvelles communes l’ont rejoint : Auffargis – Gambaiseuil – Saint-Léger-en-Yvelines. 

 

Ensuite il présente les différentes fonctions support : 

 

Celles des marchés publics : 30 procédures ont été engagées au titre de l’année 2013, d’un montant supérieur à 15 000€ HT. 

 

Finances : budget principal : 

 

En fonctionnement : les dépenses de fonctionnement s’élèvent à 25,29€ et les recettes s’élèvent à 27,60€. 

 

En investissement : les dépenses totales d’investissement s’élèvent à 1 397k€, soit 19% du budget prévisionnel. Les recettes d’investissement : la Communauté de communes autofinance à 80% ses dépenses d’investissement. Elle n’a pas eu recours à l’emprunt depuis 2010. 

 

Ressources humaines : les dépenses de personnel s’élèvent à 55% des dépenses de fonctionnement : 127 agents sont en position d’activité (tous statuts confondus). 

 

Communication : les supports: 

 

  • « Journal ensemble » : support à destination de la population 
  • PFY Hebdo : support numérique à destination du personnel et des élus 
  • Radio Vieille Eglise (RVE) : journal d’information, rendez-vous hebdo, interviews d’élus ; 
  • Agendas : support intégralement financé par la publicité : 2 500 sont édités ; 
  • Points presse : 11 points presse organisés au siège de la PFY avec la presse locale et RVE ; 
  • Site Internet : 33 364 visites, une nouvelle version est en cours d’étude ; 
  • Le pack « nouveau arrivants » à destination des nouveaux arrivants dans les communes de la PFY ; 

L’aménagement du territoire, avec la mise en œuvre de sa politique de développement durable et de son territoire en s’appuyant sur ses deux démarches complémentaires : le plan climat énergie territorial et l’agenda 21.  

 

En parallèle, elle a amplifié ses actions d’information, de sensibilisation et d’animation à l’échelle communautaire, avec : 

 

  • le plan climat énergie territorial ; 
  • Le bilan carbone ; 
  • Le pré-diagnostic de vulnérabilité du territoire au changement climatique ; 
  • le lancement grand public du PCET : cette année encore PFY a bénéficié de l’accompagnement technique et financier de l’ADEME et de la Région-Ile-de-France. 
  • les actions de sensibilisation au respect de l’environnement avec l’éductour « Eau » : 
  • le rucher pédagogique PFY ; 
  • les actions : nettoyons la nature et le recyclage de papiers de bureau. 

 

L’aménagement du territoire, avec la mise en place d’un récupérateur d’eau de pluie et 

le SPANC (service public d’assainissement non collectif). 

 

L’aménagement du territoire, avec les voiries et réseaux et le renforcement des transcoms : 

 

-Route du Viel orme 

-Route des chaises à Raizeux 

-Le plessis Mornay à Longvilliers 

-Route de la Bâte à Bonnelles 

 

L’aménagement du territoire, avec le Parc d’activités Bel-Air – La Forêt : 

(Puits de carbone – entretien des espaces verts – liaison verte entre le parc d’activités Bel Air – la forêt et la RD 150). 

 

Une étude de jalonnement du réseau de véloroutes voies vertes est menée conjointement avec le Conseil Général des Yvelines. 

 

Les services : les deux conservatoires Rambouillet et Saint-Arnoult-en-Yvelines. Pour l’année 2013-2014, les effectifs du conservatoire communautaire sont de : 1 109 élèves. 

 

Les cyberespaces : dans le cadre de sa compétence technologies de l’information et de la Communication (TIC) ; PFY a créé 3 cyberespaces sur son territoire et 1 276 ateliers ont eu lieu sur l’ensemble des 3 structures – 3 305 entrées ont été enregistrées. 

 

Les services : le développement économique : 

 

Avec la commercialisation des parcelles du Parc d’activités Bel Air la Forêt, l’action de promotion du réseau Plato Sud Yvelines et la bourse des locaux. 

 

L’Office communautaire de tourisme rural qui a enregistré +97% de contacts entre les visiteurs « physiques » et visiteurs « virtuels » liés à la consultation des sites Internet. 

 

Les structures extérieures : Centre Intercommunal d’Action Sociale : 

 

La compétence petite enfance : le 2 décembre 2013, le Conseil communautaire de PFY a décidé d’inclure la supervision de la gestion des 6 micro-crèches de Rambouillet, Clairefontaine en Yvelines, la Boissière-Ecole, Orcemont, Sonchamp et Raizeux dans le champ des compétences du CIAS. L’ensemble de l’opération micro-crèches est estimé à : environ 2 500 000€ (toutes dépenses confondues). 

 

Acte est donné de la présentation de ce rapport. 

 

14121821 

Présentation du rapport annuel d’activités 2013 du S.I.R.R. 

 

Monsieur LHEMERY rappelle que le Syndicat Intercommunal de la Région de Rambouillet est un syndicat mixte à la carte ayant réduit ses compétences qui porte maintenant sur 2 compétences : la station d’épuration et l’usine de compostage des boues. 

 

Le syndicat compte 13 communes et 6 entités intercommunales. 

 

Les communes adhérentes à la carte D « Traitement des Boues et des Graisses » ont géré seules les boues de leur station d’épuration à compter du 1er janvier 2013, suite à la modification des statuts entrant en vigueur à cette date. 

 

Le SIRR est géré au travers de 3 budgets : 

 

  • Budget général (M14) 
  • Budget relatif à l’assainissement (M49) 
  • Budget relatif à la compostière des boues (M4) 

Le budget « Assainissement » est un budget annexe du budget général, alors que le budget « Compostière des Boues » est autonome. 

 

Les principales dépenses d’investissement de ces budgets sont le remboursement du capital des emprunts et des travaux. 

 

 

 

 

Le budget général s’articule ainsi : 

 

En dépenses de fonctionnement: 

 

  • Charges à caractère général : 19% 
  • Charges exceptionnelles : 74% 
  • Charges financières : 7% 

 

Le budget assainissement : en dépenses de fonctionnement : 

 

  • Charges exceptionnelles : 5% 
  • Charges financières : 30% 
  • Charges à caractère général : 41% 
  • Charges de personnel : 21% 
  • Autres charges de gestion courante : 3% 

 

La principale recette de fonctionnement est la surtaxe d’assainissement qui est passée de 1,72€/m3 à 1,57€/m3 soit une baisse de 8,72%. 

 

La « Compostière des Boues » : en cours de clôture budgétaire. 

 

En dépenses de fonctionnement: 

 

  • Charges exceptionnelles : 34% 
  • Charges financières : 12% 
  • Charges à caractère général : 11% 
  • Autres charges de gestion courante : 43% 

 

En 2013 : 2 523 382 m3 ont été réceptionnés en station d’épuration, 2 630 142 m3 ont été traités. 

 

Monsieur LHEMERY rappelle que suite aux travaux de mise en conformité des eaux usées de la station achevés fin 2011, le fonctionnement du système épuratoire de la station est stabilisé par temps sec. 

 

Les eaux brutes arrivant sur la station en 2013 ont été épurées, selon les paramètres analysés, avec une efficacité : 

 

-d’environ 82% pour l’azote global : une amélioration a été constatée, suite à l’arrêt de la compostière qui est une grande source de pollution azotée et aux travaux ajutant un traitement de l’azote et renforçant la capacité de traitement de la station sur ce paramètre. 

 

-et de 90% moyenne pour les autres paramètres : la norme préconisée étant de 80% pour des résultats satisfaisants.  

 

En 2010, le marché de prestations de services pour l’exploitation de la station d’épuration incluait cette prestation. De nouveaux équipements ont été intégrés par le titulaire au fur et à mesure de leurs réceptions, à savoir l’installation d’un poste de dépotage de matières de vidanges, la mesure des débits sur le premier poste de relèvement de la Ville de Gazeran vers la station, l’équipement du déversoir d’orage au poste de relèvement de Groussay sur Rambouillet. 

 

En 2013 afin de répondre aux exigences de la Réglementation Européenne, de nouveaux équipements tels que l’installation d’un préleveur ont été positionnés sur la station permettant le suivi des eaux entrant sur la station d’épuration préleveur et l’installation d’un comptage à l’entrée de la lagune sur les volumes d’eaux brutes by-passés.  

 

 

La compostière et le traitement des boues : 

 

La production s’établit autour de 3 500 tonnes brutes par an représentant environ 800 tonnes de matières sèches. 

 

Les analyses réalisées sur ces boues démontrent leur conformité au regard de la règlementation en vigueur (éléments-traces métalliques et composés traces organiques) pour permettre leur valorisation agronomique. Les boues non conformes sont incinérées à Rosny-sur-Seine ou à Saint-Thibault-des-Vignes (77). 

 

Monsieur TROTIGNON souhaite obtenir des explications sur les 74 % de charges exceptionnelles en « Dépenses de fonctionnement » et sur le déficit de – 593 029€ de la section de fonctionnement à fin 2013. Cette question a déjà été posée en commission consultative des services publics locaux. 

 

Monsieur LHEMERY et Monsieur le Maire expliquent que les charges exceptionnelles qui s’élèvent à 55 000€ correspondent à un titre émis à l’encontre de la ville d’Hermeray, titre que la commune d’Hermeray conteste. Cette dette qui datait de 2004 correspond à des travaux effectués sur la carte « travaux d’intérêt général » et a donc été annulée, la carte ayant été supprimée. 

 

Monsieur JUTIER observe que les dépenses de fonctionnement apparaissent à -595 000€ et demande à quoi correspondent les 74% de charges exceptionnelles indiquées dans le rapport. 

 

Monsieur LHEMERY précise qu’il ne faut pas confondre le cumul des déficits des années antérieures, qui s’élèvent à plus de 500 000€ avec les charges exceptionnelles qu’il vient d’exposer avec Monsieur ROBERT ; 

 

Monsieur ROBERT et Monsieur JUTIER souhaiteraient à l’avenir avoir une plus grande explication sur les « camemberts» fournis et sur le terme « charges exceptionnelles ». 

 

Monsieur TROTIGNON revient sur le rapport du SICTOM présenté au conseil municipal précédent. Il avait en effet signalé plusieurs erreurs dans la synthèse de présentation, notamment ceux sur les pourcentages et les « camemberts » erronés. Une synthèse rectifiée ayant été récemment adressée, comme il l’avait demandé, aux conseillers municipaux, il remercie Monsieur le Maire de l’avoir communiquée. Cependant, ce nouveau document présente un total de « Dépenses d’investissement » de 821 620 €, alors que le document précédent indiquait un total de « Dépenses d’investissement » de 1 162 593 €, soit une différence de 340 973 €. Monsieur TROTIGNON demande qu’on lui apporte des précisons concernant cet écart financier. 

 

Monsieur PETITPREZ observe que les chiffres présentés en conseil étaient des prévisions budgétaires. Ils ont été remplacés dans le document fourni par les chiffres réalisés. Il s’agissait d’une erreur de présentation qui a été corrigée mais qui ne change rien sur le fond et sur le bilan donné. 

 

Acte est donné de ce rapport de présentation. 

AFFAIRES CULTURELLES: rapporteur Madame MOUFFLET 

 

14121822 

Médiathèque Florian – Vente publique du mobilier 

du 15 février au 1er mars 2015 

Madame MOUFFLET annonce que la médiathèque fermera ses portes dans deux jours et indique que tout le mobilier (un peu vétuste) ne sera pas adapté à la nouvelle structure. Il sera réparti dans différentes établissements de la collectivité : pôle culturel, bibliothèques des écoles. Le reste du mobilier sera mis à la vente. Elle informe que la vente des livres suite au désherbage a rapporté 5 000 € à la collectivité. Les conseillers municipaux ont eu communication du mobilier mis à la vente et des tarifs proposés. 

 

Monsieur TROTIGNON demande ce qui empêche qu’un brocanteur, par exemple, vienne dès l’ouverture et rachète le tout, bien que la volonté affichée soit une vente au public. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121823 

Modification des tarifs de la médiathèque Florian et de son réseau 

à partir du 1er janvier 2015 

 

Madame MOUFFLET confirme que la médiathèque Florian ferme ses portes pour une durée d’un an environ afin de réaliser des travaux de réhabilitation. Ses adhérents seront accueillis dans la bibliothèque relais « La Sarigue » située dans le quartier de la Clairière.  

 

Cette antenne de quartier offrira un fonds de documents moins important que celui de la médiathèque Florian même si elle sera très régulièrement alimentée en albums, romans pour jeunes et adultes, revues, bandes dessinées et films les plus fréquemment utilisés.  

 

Elle sera ouverte du mardi au samedi de 14h à 18h à compter du 17 février 2015. 

 

Néanmoins, l’offre en matière de lecture publique étant amputée de sa centrale, il est proposé de mettre en place une tarification spéciale pour les abonnements pris à compter du 1er janvier 2015 qui se traduirait par l’application d’un demi- tarif sur les tarifs actuels. 

 

Cette tarification serait applicable aux abonnements pris à tout moment de l’année. Les abonnements seraient valables jusqu’à l’ouverture de la médiathèque réhabilitée.     

 

Il est donc demandé au Conseil municipal d’appliquer les nouveaux tarifs d’abonnement à la médiathèque Florian et à son réseau à partir du 1er janvier 2015.  

 

Monsieur JUTIER demande si des lieux d’accueil sont prévus en centre ville. 

 

Des boîtes de retour seront mises en place à l’Office de Tourisme, mais également dans le magasin « Carrefour ». Un kiosque de revues périodiques sera mis à disposition des abonnés au Bureau Information Jeunesse (BIJ) de la maison de la culture – Usine à chapeaux (MJC). 

 

Le Conseil municipal autorise l’application des nouveaux tarifs d’abonnement. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

14121824 

Modification de la tarification du musée Rambolitrain – Entrée payante 

à partir de 3 ans 

 

Madame MOUFFLET rappelle que chaque année, le musée accueille près de 3 000 visiteurs bénéficiant de la gratuité. Une grande partie de ces gratuités est accordée aux enfants âgés de 3 à 4 ans.  

 

(Pour rappel, le tarif réduit s’applique aux enfants à partir de 4 ans (2,50€).  

 

Or, le musée reçoit en visite guidée payante les groupes scolaires à partir de la maternelle, soit à partir de 3 ans. En effet, le musée travaille de manière étroite avec l’Inspection de l’Education Nationale sur la correspondance entre les programmes scolaires, dès la petite section, et les collections et contenus scientifiques des supports de présentation et animations. L’établissement présente donc un intérêt éducatif pour les enfants dès 3 ans. 

 

Dès lors, il apparaît justifié de rendre le musée payant aux enfants à partir de cet âge. 

 

Monsieur JUTIER votera contre cette délibération car le manque à gagner n’est pas très important pour la ville. Il ajoute que, symboliquement, cela aurait été intéressant de garder la gratuité. 

 

Vote de la délibération : à la majorité des votants (Abstention : Mme GUILBAUD – Contre : M. JUTIER) 

 

VIE ASSOCIATIVE 

 

14121825 

Modification du règlement intérieur des salles municipales 

 

Madame CROZIER rappelle que la ville de Rambouillet s’est dotée pour la salle Patenôtre et la salle Vernes d’un limiteur de son pour permettre d’évaluer et de maîtriser le son diffusé dans ces salles. 

 

Il est proposé de modifier le règlement intérieur pour ajouter cette information (titre III de l’article 9). 

 

Le dépassement du volume sonore admissible se signale par un voyant lumineux rouge suivi par une coupure de l’alimentation électrique si le niveau sonore excessif est maintenu. 

Vote de la délibération : à l’unanimité 

 

 

 

Monsieur ROBERT annonce que la délibération relative à l’aide à projet aux Amis du Musée Rambolitrain est reportée dans l’attente d’éléments complémentaires à la rédaction de celle-ci. 

 

Monsieur ROBERT rappelle que toutes les questions orales doivent être envoyées à l’adresse électronique suivante : secretariat.general@rambouillet.fr 

 

LES COMMUNICATIONS DU MAIRE 

 

[Symbole] Réponses aux questions posées par Monsieur TROTIGNON au conseil 

    du 27 novembre 2014 sur le stationnement 

 

Question n°1 : 

Le plan de situation des mâts de jalonnement dynamique est-il figé ou les emplacements des mâts peuvent-ils être renégociés le cas échéant ? 

 

Monsieur ROBERT rappelle qu’il s’agit effectivement d’un plan prévisionnel. 

L’emplacement définitif des mâts sera fixé lors des premières réunions de travail avec le nouveau délégataire. 

 

Question n°2 : 

Pourrez-vous nous communiquer au second trimestre 2015 la liste de tous les actionnaires de la société RAMBOUILLET URBIS PARK, afin que nous connaissions mieux le partenaire qui exécutera ce contrat pour Rambouillet pendant 10 ans, et afin que nous puissions nous assurer qu’aucune personne ayant participé à l’élaboration de cette DSP ou proche, ou l’ayant votée, n’est postérieurement « intéressée à l’affaire » ? 

 

Monsieur ROBERT annonce : « nous pourrons effectivement vous communiquer au cours du second trimestre 2015 la liste de tous les actionnaires de la société « Rambouillet Urbis Park ». Je peux d’ores et déjà vous dire, afin de couper court à vos allégations suspicieuses, que le capital de « Rambouillet Urbis Park » sera majoritairement détenu par le groupe URBIS PARK et que l’autre actionnaire pourrait être le partenaire financier qui interviendra pour financer les investissements prévus au titre du contrat (établissement bancaire). Il n’y aura bien évidemment aucune personne « intéressée à l’affaire ». 

 

Question n°3 : 

Dans l’annexe 30 page 3 « Tarifs abonnement au 01/01/2015 – Parcs de stationnement Séquoia/Prairie/Hôtel de Ville et Vigne », il est indiqué que pour Séquoia et Prairie l’abonnement mensuel est 14 € plus cher pour les non-rambolitains par rapport aux rambolitains, et pour les parkings des Vignes et Hôtel de Ville l’abonnement mensuel est 10 € moins cher pour les non rambolitains par rapport aux rambolitains. 

 

Monsieur TROTIGNON demande quelle est la logique de ces différences de tarifs, désavantageux dans certains parkings et avantageux dans d’autres pour les non rambolitains. 

 

Monsieur ROBERT précise que la différence des tarifs est liée à la vocation des parkings, les parkings du Séquoia et des Prairie étant plutôt des parkings de gare ; il a été décidé de pratiquer un tarif abonnés résidents et un tarif abonnés non résidents. En revanche, les parkings des Vignes et de l’Hôtel de Ville étant des parcs de centre ville, il n’y a pas de différenciation de tarifs abonnés entre résidents et non résidents. L’abonnement mensuel 24/24h Vignes et Hôtel de Ville s’élève à 50 € et l’abonnement mensuel jour s’élève à 40 €. Le tableau annexé va être très légèrement revu dans sa forme afin d’éviter toute ambigüité. 

 

Question n° 4 : 

Il est indiqué dans l’annexe du contrat « Programme et calendrier des travaux » page 2 pour le parking Hôtel de Ville, que sera mis en place un « système de gestion optimisé indiquant le taux d’utilisation par abonné ». Ce système de recueil d’informations par abonné est-il bien compatible avec les recommandations de la CNIL ? Si la vérification n’a pas déjà été faite, pouvez vous la demander ? 

 

Monsieur ROBERT rappelle que les fichiers abonnés font l’objet d’une déclaration à la CNIL. Les informations relatives à l’utilisation des parcs par les abonnés sont conservées en interne. Les éléments statistiques permettent à URBIS PARK, notamment, de fixer le seuil maximum d’abonnés pour un parc ou de proposer des formules plus intéressantes à certains clients. 

 

[Symbole]Association ASCUFA 

 

A la recherche d’un local pour assurer la vie culturelle et cultuelle de l’association, l’ASCUFA occupe de manière irrégulière depuis 2010 une tente dans le quartier de la Louvière pour s’y retrouver. Devant la bonne volonté manifeste de l’association et son engagement de trouver un lieu privé, la municipalité en accord avec les services du Ministère de l’intérieur a toléré cette occupation temporaire dans la perspective d’un aboutissement rapide de leur démarche.  

 

Une communication avait été faite lors du Conseil Municipal du 7 février 2014 suite à  

des interrogations qui avaient été exprimées. 

 

Dans le courant du mois de juillet dernier la ville a appris que la tente installée avait été agrandie. A la demande du Maire, Monsieur le Sous-préfet a organisé une réunion avec les représentants de l’association ASCUFA le 17 juillet dernier destinée à faire le point sur l’avancée des recherches entreprises. L’association a rappelé son souhait d’acquérir un terrain ou un local.  

 

En accord avec Monsieur le Sous-préfet, et alors que les recherches de l’association n’aboutissent pas, le Maire à renouvelé la position de la municipalité, dès 2010 il a été demandé à l’association de quitter l’espace public. Cette demande a été renouvelée le 3 octobre 2013 par lette RAR par la précédente Municipalité.  Une nouvelle rencontre a eu lieu avec Monsieur Jean-Louis LORIEUX directeur général des services le 12 septembre et à la suite de ce rendez vous un courrier a été adressé au Président de l’association pour demander, conformément à la législation en vigueur, à l’association de libérer l’emprise publique utilisée irrégulièrement depuis 2010, le 15 décembre 2014 au plus tard. .  

 

Dans le cadre du suivi de la demande faite de libérer l’emprise, le Président de l’ASCUFA a tenu informé la ville de l’évolution des recherches entreprises. Plusieurs rendez vous ont eu lieu (les 12 novembre et 12 décembre) au cours desquels des informations précises marquant à la fois la bonne volonté de l’association de trouver un autre lieu et des pistes concrètes de solutions à brève échéance ont été données.  

 

Le Maire a donc saisi les services de l’Etat pour permettre à l’association d’utiliser les lieux pendant quelques semaines.  

 

C’est donc dans le cadre strict de la Loi que ce dossier est suivi dans le respect strict : 

 

1- ) des principes de la République dont le préambule de la constitution et son article 1er affirment le caractère laïc et le respect de toutes croyances, 

 

2- ) de l’application des Lois de : 

 

* 1901 relative au contrat d’association (notamment titre, objets…cf. article5) ; 

 

* 1905 refondatrice de la laïcité à la Française et consacrant la séparation des religions et de l’Etat. Cette loi interdit notamment à l’Etat et aux collectivités locales la construction de nouveaux lieux de culte (cf. art 2) ; 

 

* 1907 concernant l’exercice public des cultes. 

 

3- ) des règles d’urbanisme et du PLU applicables à chacun, notamment : architecture, usage, coefficient d’occupation du sol, stationnement, arrêtés de lotissement… 

 

Cette communication publique sera adressée aux services de l’Etat. 

 

[Symbole]Réponse apportée à Monsieur CHEVRIER sur l’ajout de 52 postes au tableau des effectifs.  

(Document joint en annexe du budget 2013 par rapport à celui de 2012), 

Monsieur ROBERT souhaite apporter, à nouveau, quelques éléments de réponses à la suite des demandes et remarques faites par Monsieur CHEVRIER sur les effectifs municipaux. Il confirme : 

-que l’ensemble des postes permanents et non permanents (qui doivent figurer au tableau des effectifs) a évolué entre 2009 et 2013 de 0,17 %, représentant un poste créé au sein de la police municipale) ; 

-32 postes apparaissent en plus dans le secteur médico-social, mais il s’agit de l’inscription au tableau des effectifs des postes d’assistantes maternelles, qui n’y figuraient pas les années antérieures (interprétation des textes différente entre l’ancien Directeur et la nouvelle Directrice des Ressources Humaines) ; 

 

 

Les 20 autres postes correspondent : 

 

-à une mise à jour du tableau, 

-à la transformation de postes de vacataires en contrats d’agents permanents non titulaires (création de postes mais masse salariale inchangée) ; 

-l’inscription des emplois « non cités » tels les apprentis ou les contrats aidés qui n’apparaissaient pas. 

Pour rappel, les rémunérations brutes ont diminué, entre 2009 et 2013, de 2,85 %. 

  

LES DECISONS DU MAIRE 

Numéro  Date  Organisme  Objet de la décision 
141117111DMST  17/11/2014  Ville de Mérobert   De signer la convention de cession à titre gracieux des décorations de Noël à la Ville de Mérobert. 
141117112DMMP  17/11/2014  2BDM Architecture et Patrimoine  De confier à la réalisation d’une étude portant sur la restauration du pavillon du Verger.
Pour 13 499,61 € HT à 2BDM. 
141120113DMMP  20/11/2014  ARCHI D ARCHITECTES / PANTEC / SETRAT / BUCHET   Décision de passer l’avenant n°1 au marché de maîtrise d’œuvre pour la réhabilitation du centre de loisirs « Château d’Eau – Les Eveuses »  
141120114DMVA  20/11/2014  La Compagnie de la Grande Echelle  Décision de signer un contrat pour 1 000 € pour la parade déambulatoire de Noël  le 21 décembre 2014. 
141121115DMRH  21/11/2014  CIG   Désignation de Maître PORTELLI, Avocat, dans l’affaire Johanna MAYET. 
141126116DMAC  26/11/2014  AGORA PRODUCTION  Prestation « Marie Busato Trio » dans le cadre du festival CHANSO’STONE le 22/11/2014 
141127117DMRH  27/11/2014  CONNAISSANCE NETWORK   De signer la convention du 27 novembre 2014  relative à la prestation d’une formation Analyse financière M4 – Plan des comptes M44 intra locales du 11 au 13 février 2015 pour 2080€  
141128118DMSG  28/11/2014  CCPFY  De signer une convention afin de disposer à titre gracieux du local situé 43 rue Louis Leblanc à Rambouillet pour une durée de deux ans. 
141128119DMNI  28/11/2014  La Compagnie de la Tortue  Décide de signer un contrat pour 2 représentations de la pièce ’‘DZAAA !’’ au Nickel le 10 mars 2015. 
141202121DMVA  02/12/2014  CGSM  Gardiennage de la patinoire place Félix Faure pendant la période du 28 novembre 2014 au 9 janvier 2015. 
141204122DMEJ  04/12/2014  Mr et Mme ANNEQUIN   De signer une convention de 13846 euros pour un hébergement en pension complète, pour 40 enfants et  6 animateurs à Samoëns 

 

 

141208123DMSC  08/12/2014  Compagnie Théâtre du Mantois  Signature d’un contrat pour 8 représentations du spectacle « Mondes Animés II » au  

Nickel pour 10 126.95 € T.T.C 

141208124DMSC  08/12/2014  Compagnie METISSAGE PROD  Signature d’un contrat pour 11 représentations du spectacle « Noël au cœur de l’hiver » au Nickel pour 9 211.70 €  
141208125DMRH  08/12/2014  ANDEL  Signature d’une convention pour une formation « stratégie de communication » pour 550€  

  

A la fin de la présentation, Monsieur TROTIGNON demande à Monsieur le Maire pourquoi la ville de Mérobert dans l’Essonne a sollicité la commune pour l’achat de décorations de Noël. 

 

Madame HUET sollicitée par Monsieur ROBERT répond qu’il s’agit de décorations anciennes devenues obsolètes et qu’une décision était nécessaire pour que la Ville de Mérobert puisse les recevoir à titre gracieux. 

 

Monsieur JUTIER s’étonne du prix élevé de l’installation des décorations de Noël (montant de 40 000 €). Il demande si les services techniques n’étaient pas en capacité de réaliser cette opération en interne. 

 

Monsieur ROBERT précise qu’actuellemnt, la nacelle des services techniques ne peuvent réaliser cela en interne. 

 

Monsieur PIQUET fait remarquer que cette prestation a fait l’objet d’un appel à concurrence et que l’entreprise choisie était la moins disante. Une étude est actuellement en cours pour déterminer l’intérêt ou le désintérêt d’acheter une nouvelle nacelle. 

QUESTIONS ORALES 

 

Question de M. JUTIER de la liste « Rambouillet, Ecologique et Citoyenne » sur les rythmes scolaires 

« M. Le Maire, 

Depuis la rentrée de septembre, la manière dont votre équipe et vous-même avez choisi d’organiser les temps à l’école suscite de nombreuses interrogations. 

Nous nous étonnons tout d’abord des plages horaires lors desquelles se déroulent les activités nouvelles, et de la qualité de l’encadrement qui en découle. De nombreux témoignages font en effet état d’activités qui ne se déroulent que lors de la pause méridienne, alors que les nouveaux rythmes votés ici même en conseil prévoient seulement un quart d’heure d’activité sur la pause méridienne. La plupart des parents, par manque d’information, sont d’ailleurs persuadés que c’est la seule pause méridienne qui est concernée, par 45 minutes d’activités éducatives. Or, les taux d’encadrement réglementaires ne s’appliquent pas sur le temps de la pause méridienne, qui reste un gros problème dans les écoles de Rambouillet. Alors que de l’avis unanime des professionnels de l’éducation et de la santé, cette pause devrait être un temps calme et non un temps d’activité, cette plage horaire est aujourd’hui un temps agité et bruyant, décrit comme très fatigant pour les enfants. Monsieur le maire, nous souhaiterions que vous indiquiez précisément à quel moment sont mises en place les nouvelles activités, et quel est le taux d’encadrement à chaque moment de la journée des enfants. 

Nous vous signalons de plus que la fin de matinée du mercredi matin pose des soucis, et que de nombreuses personnes regrettent qu’il n’y ait pas plus de souplesse pour récupérer les enfants a la sortie de l’école, et que les enfants qui ne peuvent être repris précisément à 11h54 entrent obligatoirement dans le parcours cantine → centre de loisir. Nous souhaiterions que vous mettiez en place un temps d’accueil supplémentaire le mercredi midi, par exemple jusqu’a 12h30 ou 12h45. 

La seconde interrogation porte sur l’information : comment vos services informent-ils les familles des activités proposées aux enfants ? Des parents s’étonnent en effet de ne pas être avertis des activités, et ces mêmes parents n’ont pas le sentiment d’un encadrement cohérent et construit sur la durée. 

De nombreux parents s’étonnent ensuite de l’absence de suivi, ou de suivi visible les associant, de cette réforme des rythmes. Monsieur le maire, outre le travail normal et habituel effectué par les services et les élu(e)s de la majorité en direction des directeurs et des directrices d’école, nous vous invitons à structurer un suivi de la réforme associant l’ensemble des personnes concernées (parents, enseignants, animateurs, 

ATSEM, personnel de cantine). 

Enfin monsieur le maire, lors de nos débats du printemps dernier avant la mise en place de la réforme à Rambouillet, nous vous avions invité à profiter du formidable vivier associatif de notre ville pour enrichir les activités éducatives, lors des plages horaires dégagées grâce aux nouveaux rythmes. 

Ce ne sont pas les bonnes idées qui manquent pourtant à Rambouillet ! Pour n’en citer qu’une en suspens, vous pourriez par exemple donner suite à l’école de La Louvière au projet de potager, et proposer aux jardins familiaux de venir encadrer les enfants. Cela s’inscrit de plus dans la démarche agenda 21 actuellement en cours et qui pourrait être mieux intégrée dans les écoles à la faveur des rythmes scolaires. 

Vous n’avez pour l’instant pas souhaité vous appuyer sur cette ressource associative, arguant de problèmes de responsabilité. Or, des associations interviennent dans de nombreuses villes sans que cela pose le moindre problème de responsabilité, et, à Rambouillet même, quelques associations ont d’ores et déjà proposé ou planifié des activités. Cela montre bien que les barrières au recours associatif ne sont pas juridiques, et nous aimerions savoir monsieur le maire si votre position a évolué sur la question et si vous allez permettre aux enfants de Rambouillet de bénéficier de l’expertise et de l’expérience des associations locales ». 

 

Monsieur ROBERT rappelle que l’agencement des nouveaux rythmes scolaires à Rambouillet est le fruit d’une large concertation et est parfaitement en accord avec les préconisations de l’Education Nationale. 

Rambouillet n’est pas dans un cadre dérogatoire. 

Nous ne pouvons parler de « temps d’activités nouvelles ». 

En effet, à Rambouillet, nous ne partons pas d’une page blanche et nous nous inscrivons dans la continuité de ce qui existait déjà les années passées à travers l’organisation des activités périscolaires proposées par le Département Education Jeunesse (DEJ). 

Cette organisation répondait déjà aux grands principes de la réforme pour les élémentaires et a été élargie aux écoles maternelles. 

Les propositions d’activités pendant toute la durée de la pause méridienne ont été renforcées de même que l’encadrement. Il ne s’agit en aucun cas de considérer un quart d’heure ni même 45 minutes mais bien toute la durée de cette pause. 

Je souhaite ici souligner le travail effectué par les équipes tant du secteur scolaire que de l’animation qui se sont attachées à structurer ces temps périscolaires en les adaptant à chaque période de la journée et en respectant scrupuleusement les normes d’encadrement. 

En ce qui concerne le mercredi midi, nous avons répondu favorablement à toutes les demandes dérogatoires en autorisant l’accès de la restauration du centre de loisirs avec une sortie à 13h30. 

Un accueil supplémentaire le mercredi midi dans chaque école ne peut être envisagé pour des coûts en ressources humaines évidents. 

Comme les années précédentes les équipes d’animation restent à la disposition des parents pour les informer sur le déroulement des temps périscolaires. Cette information a également été largement diffusée lors des conseils d’écoles, en présence des responsables des structures, dans la mesure de leurs possibilités. 

Je vous informe qu’une démarche d’évaluation est déjà entreprise auprès de chaque enseignant et des équipes municipales. Les délégués de parents ont été invités lors des conseils d’écoles à remonter les observations des familles. Les présidents des fédérations et des représentants de parents d’élèves autonomes seront reçus par l’élu en charge des affaires scolaires dans cet esprit. 

Le choix de Rambouillet de ne pas impliquer directement le monde associatif à cette organisation relève d’une préoccupation de transfert de responsabilité. Certaines villes s’étant appuyées sur la ressource associative ont connu des incidents pour lesquels il est difficile d’établir les responsabilités réciproques. 

 

Une évolution de ce cadre juridique pourrait remettre ce choix en question. 

 

 

Question de M. JUTIER de la liste « Rambouillet, Ecologique et Citoyenne » sur la politique culturelle de la ville 

 

« Monsieur le Maire,  

 

Une question au sujet de la politique culturelle de la ville et de ses coûts, en m’appuyant sur vos décisions récentes : combien coûte la télésurveillance du chantier du pôle culturel ?  A quel équipement correspond la somme de 70 000 euros allouée à « la construction d’un espace de diffusion de spectacles » ? Enfin, quel est le résultat du diagnostic amiante du Nickel ? (notre mail aux services techniques est resté sans réponse à ce jour ». 

 

 

 

 

Monsieur ROBERT souhaite répondre de manière exhaustive à la question de Monsieur JUTIER : 

« Coût télésurveillance du chantier du pôle : 

– 12 000 € T.T.C. pris en charge par l’entreprise de gros œuvre ; 

– 288 € à la charge de la ville pour le report vers la centrale de télésurveillance. 

Diagnostic amiante du Nickel : 

Les prélèvements ont été réalisés en octobre dernier et sont partis en analyse à Paris mais le rapport définitif ne nous est pas encore parvenu. 

 

Construction du pôle de spectacles :  

(Décision figurant dans la liste des décisions du Conseil Municipal du 27 novembre). 

La somme de 70 000 € correspond au montant du contrat d’O.P.C. (Ordonnancement Pilotage et Coordination) signé avec l’entreprise IPCS suite à la résiliation du précédent contrat qui liait la ville avec la société Ouest Coordination ». 

 

Question de M. JUTIER de la liste « Rambouillet, Ecologique et Citoyenne » sur les équipements sportifs de plein air 

 

Monsieur JUTIER souhaite obtenir une carte et une liste des équipements sportifs de plein air ouverts à tous et des aires de jeux pour les enfants à Rambouillet.  

Monsieur ROBERT répond qu’à ce jour, la commune ne dispose pas de carte permettant de localiser la répartition géographique des équipements sportifs de plein air ouverts à tous et/ou des aires de jeux pour enfants. 

Néanmoins, il énumère par quartier la liste exhaustive des équipements sportifs : 

  1. BEL AIR 
  • 3 terrains de pétanque. 

 

  1. CLAIRIERE  
  • 1 terrain de foot en herbe,  
  • 1 terrain de foot en stabilisé,  
  • 1 terrain de basket,  
  • 1 terrain de pétanque, 
  • 1 parcours sportif, 
  • 1 petit terrain de foot au bassin Clairière. 

 

  1.  CURIE 
  • 1 terrain de foot en herbe, 
  • ½ terrain de basket, 
  • 2 terrains de pétanque. 

 

  1. GRENONVILLIERS 
  • 1 terrain de foot en herbe, 
  • 1 terrain de basket, 
  • 1 terrain de pétanque. 

 

  1. GROUSSAY 
  • 1 terrain de basket, 
  • 1 petit terrain de foot en grave. 

 

  1. LOUVIERE 
  • 1 terrain de foot en herbe, 
  • 1 terrain de basket, 
  • 1 terrain de pétanque, 
  • 1 terrain de foot en grave, 
  • 1 aire multisports. 

 

  1. VERNES 
  • 1 aire multisports, 
  • 1 aire de pétanque. 

 

A cela s’ajoute l’accès à certains équipements des complexes sportifs, hors utilisation prioritaire des scolaires et des clubs résidents : 

 

  1. RACINAY 
  • 1 terrain de rugby en herbe, 
  • 1 terrain de foot en stabilisé, 
  • 1 plateau de basket. 

 

  1. VIEUX MOULIN 
  • 1 piste d’athlétisme, 
  • 1 petit terrain synthétique. 

 

  1. VIVONNE 
  • 1 terrain en herbe rugby / foot, 
  • 1 plateau de basket. 

 

CONCERNANT LES AIRES DE JEUX, VOICI EGALEMENT LA LISTE : 

 

JARDINS ET SQUARES PUBLICS  

 

  1. Square René Coty (Rue Delorme) 
  1. Square René Coty (Rue Maurice Dechy) 
  1. Square Saint  Louis 
  1. Square des Marais 
  1. Jardin de la Motte 
  1. Vergers des enfants (Rue Dubuc) 
  1. Jardin du Palais du Roi de Rome 
  1. Grenonvilliers 
  1. Rue du Pavillon de la Marine 
  1. Square du Bel Air 
  1. Centre de Loisirs du Château d’Eau 
  1. Square du Nickel 
  1. Rue du Vieil Orme 
  1. Square Kirchheim Unter Teck (La Clairière) 
  1. Square de la Ruche 
  1. Bois des Cheminots 

ECOLES ET CRÈCHES  

 

  1. Ecole Maternelle du Centre 
  1. Ecole Maternelle Dreyfus 
  1. Ecole Maternelle de la Gommerie 
  1. Ecole Primaire La Prairie 
  1. Ecole Maternelle de la Louvière 
  1. Ecole Maternelle Clairbois 
  1. Ecole Maternelle La Ruche 
  1. Ecole Maternelle Saint Hubert 
  1. Ecole Maternelle d’Arbouville 
  1. Ecole Maternelle du Bel Air 
  1. Crèche des Fontaines 
  1. Crèche La Farandole 
  1. Halte Garderie Ribambelle 

 

Question de Monsieur TROTIGNON de la liste « Rambouillet Renouveau » : indemnité de représentation des élus du conseil municipal siégeant au sein  

d’organismes extérieurs 

 

Monsieur TROTIGNON : « les membres de notre groupe apprennent au gré des débats qui ont lieu dans les commissions que tel ou tel élu perçoit des indemnités au sein de tel ou tel organisme extérieur, du fait de sa désignation pour y représenter la commune de Rambouillet.  

 

Or, si les indemnités des élus à ce Conseil municipal sont bien publiques, avec le tableau qui doit légalement accompagner toute délibération d’indemnisation, les indemnités qu’ils perçoivent dans des organismes extérieurs du fait de leur désignation par le conseil municipal, ou par vous-même, ne sont pas connues ni des citoyens – ni de nous-mêmes -, or ce sont les citoyens qui, d’une façon ou d’une autre, les financent par leurs taxes et contributions. Il nous parait donc normal que la même transparence s’applique pour eux en la matière. 

 

En conséquence, notre groupe vous demande de bien vouloir lui indiquer oralement, afin que cela figure au compte-rendu public de notre séance, la liste de tous les élus du conseil municipal de Rambouillet qui perçoivent une ou des indemnités dans des organismes extérieurs, du fait de leur désignation pour y représenter la commune, avec pour chacun d’eux leur fonction au sein de cet organisme et le montant mensuel brut de leur indemnité. » 

 

Monsieur ROBERT répond que la question portant sur des informations détenues par des organismes extérieurs, il va saisir très rapidement la CADA afin que celle-ci indique s’il appartient au Maire de communiquer ces éléments. 

 

Question de Monsieur TROTIGNON de la liste « Rambouillet Renouveau » concernant le pôle de spectacles 

 

« Monsieur le Maire, notre dernier conseil municipal a eu lieu le jeudi 27 novembre. Je n’ai pas souvenir que vous y ayez signalé une nouvelle prévision de date d’ouverture de notre Pôle culturel, projet phare de notre cité, attendu depuis un certain nombre d’années, ouverture qui était annoncée depuis un bon moment à la rentrée 2015.  

 

Or, à peine 5 jours plus tard, le mardi 2 décembre, nous avons appris au détour d’une brève uniquement publiée sur le site de la Mairie, intitulée « Un nom pour le Pôle culturel », qu’il était annoncé que le Pôle culturel ouvrirait « en 2016 » et non plus à la rentrée 2015, sans même que les membres de votre Commission Culture n’aient été informés de ce décalage.  

 

En dehors des interrogations que suscite votre communication à ce sujet, qu’en est-il exactement et quelles sont les conséquences au niveau de la date de passage de relais prévue, à ce jour, de la programmation des spectacles professionnels du Nickel au Pôle culturel ? ». 

 

Monsieur ROBERT répond qu’il est dans l’incapacité de donner la date d’ouverture du pôle. Cependant, compte tenu de l’avancement du chantier du pôle de spectacles qui se passe très bien, mais qui a pris un peu de retard, la date prévisionnelle d’ouverture du pôle sera probablement début janvier 2016. Elle n’a cependant pas encore été fixée officiellement. 

Conformément à ce qu’il a toujours annoncé, la programmation des spectacles professionnels au Nickel s’arrêtera à la fin de la saison culturelle 2014-2015, soit au mois de juin prochain. 

 

L’ordre du jour étant épuisé, la séance s’est achevée à 23h35. 

Monsieur le Maire souhaite de bonnes fêtes de fin d’année à toutes et à tous.